Les joncs allongés
Ploient sous le vent
Quel est ce mystère
Le silence du lieu déserté
Quelle est cette lumière
Qui se dresse dans ces lieux aimés

Les joncs ploient sous la lumière
Quel est ce calme
Qui achève de cimenter ces ruines
Et ce fleuve englouti

Les strates O lumières
Dans les couch­es de terre
Qui recou­vrent ses yeux

 

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