This l’ll call…
July 4th, 2012

this I’ll call har­bor rather than ser­vant or piece with sheets
although its meaning’s gone
with the morning

in him we saw a net also
not a seag­ull for sure but per­haps an ocean
yes
of rail­roads and tor­ments of steel
as we vis­it­ed the base
when in Lori­ent and Brest

a woman’s breast, on whose shore I footed
but there the wind‘d dropped
but here sole­ly cars shriek the morning
light before dawn

 

 

 

 

 

Celui-ci…
4 juil­let 2012

celui-ci je l’ai appelé havre plutôt que page
tout en n’y voy­ant plus guère de sens
le lendemain
il était réseau, aussi
non pas certes une mer mais un océan peut-être bien
de voies fer­rées oui de ces tour­ments d’acier
comme il y en avait dans les ports de guerre et d’industrie
qu’on allait arpen­ter après guerre
après être allé dans les dunes
s’aimer

il n’y avait plus de vent
aujourd’hui ce sont des voitures, qui ne cri­ent plus le matin comme les anciennes
mouettes

 

 

 

Extraits de Pages, seize poèmes en anglais et en français et seize dessins.

image_pdfimage_print