Silence des mondes.
L’explosion, le poids des mots que l’on pour­rait graver sur le rocher, la présence de la mer,  d’immenses voûtes de silence.

Le temps à devin­er dans les corps des orig­ines, accueil­lir la main et le regard, s’ouvrir chaque jour et chaque nuit,  ce signe d’amour et de lumière,

Brasi­er de flammes et de cen­dres noires.

Musique frag­ile.
Pren­dre à la nuit les ombres nerveuses  des temps anciens.

Peut-être l’infini.
Inven­ter une vibra­tion, des sons, des rythmes, impré­ci­sion de la mémoire, la part de l’invisible, de l’ignorance,

Appren­dre à nav­iguer dans les zones de grande turbulence.
 

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