Le genêt répand
L’indigence de son jaune parfum

Par­mi les jonquilles
Le papil­lon blanc se pose en silence

Sans joug ni fardeau
Comme une étin­celle en apesanteur

Une lueur d’infini tend les mains
Le genêt respire
L’ensoleillement du buis­son en fleur.
 

image_pdfimage_print