Des fruits décapités, des cartes
des oiseaux que j’ai apprivoisés sous le chapeau ,
je ne sais quels gramophones errants,
la ville qui naît et qui meurt,
dans ton œil la fleur, des rails
qui m’abandonnent, des journaux
qui m’arrivent par la fenêtre
reproduisent les gestes obscènes
que je vois fabriquer les fleurs
qui me surveillent les nuits éteintes
où des nuages invariablement
versent des chagrins que je ne dis pas.