Nashtir Togitichi, né en 1959, psychologue de profession, vit à Paris. Lit et écrit de la poésie pour vivre, un peu comme d’autres font de la méditation.
A lu Michaux, d’autres contemporains, les surréalistes et des grands classiques (Baudelaire, Rimbaud, Verlaine, Hugo). Intéressé par la poésie japonaise, pour la concision. Considère qu’il y a toujours quelque chose à trouver en chaque poète et, plus généralement, en chaque individu qui marche. Mais tout ne peut toujours se digérer.
Travaille en grande banlieue ce qui lui permet de lire de la poésie dans le confort du RER et donc ailleurs que chez lui.
Publications sur le net : dans« Francopolis » et « Capital des mots » d’Eric Dubois.
A publié un recueil : Si tout se casse la gueule, précédé de Contraintes du temps, chez Edilivre, septembre 2015. A paraître Chroniques de l’antépénultième.