Née le 08 juil­let 1965 à Ermont (Val d’oise) Astrid Shriqui est issue d’une famille ouvrière du Pas de Calais, et la ban­lieue parisi­enne l’a vue grandir.
Elle est pro­fondé­ment attachée à ces deux cul­tures. Après un par­cours pro­fes­sion­nel vagabond, elle est depuis le print­emps 2012 assise sur le bal­last et prof­ite de ce temps pour ten­ter de com­pren­dre ce que la vie lui fait entendre.
Sa pas­sion pour la poésie est liée à sa pas­sion pour les mots, leurs couleurs, leurs sons. Et cette pas­sion est née sur les bancs de l’école publique et de l’attachement pro­fond de sa mère pour la lecture.
L’écriture lui offre le meilleur des sup­ports pour pou­voir y pro­jeter les images, les gestes, les odeurs, les bruits que lui appor­tent cer­tains jours.
La poésie est ce que la pho­togra­phie est au ciné­ma. Un instan­ta­né sai­sis­sant. La poésie est exigeante et doit être évi­dente. Évi­dente pour cha­cun. Exi­gence du bon angle, de la juste lumière. Elle aime égale­ment la musi­cal­ité des langages.
Le mot est palette, vio­lon, glaise, burin, focale. La poésie est la musique qu’il lui faut enten­dre pour tra­vers­er la vie en y cher­chant sa pos­si­ble réponse.
Elle col­la­bore à l’as­so­ci­a­tion d’artistes pein­tres, sculp­teurs, pho­tographes, plas­ti­ciens : Lumières de Jade (Bouin, Vendée).
Pub­li­ca­tion : “Ynys Aval­lach” , Les édi­tions du Lit­téraire — La bib­lio­thèque de Babel juin 2014
Elle met en ligne ses textes sur le site http://www.unjourunpoeme.fr
Elle vit tou­jours en Val d’Oise.

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