Cristi­na Domenech est née le 21 juin 1954 à San Isidro, Buenos Aires. Elle est poète et philosophe. Après des études de let­tres et de sci­ences sociales, elle a fait une licence en philoso­phie à l’u­ni­ver­sité de ges­tion et sci­ences sociales (UCES), sa thèse por­tant sur le prob­lème de la didac­tique en philoso­phie. Elle coor­donne des ate­liers de lec­ture et d’écri­t­ure pour enfants et adultes, ain­si que pour les détenus du cen­tre péni­ten­ti­aire San Mar­tin à Buenos Aires. Elle pro­pose d’u­tilis­er le lan­gage comme moyen de libéra­tion et comme mode de change­ment du monde.

La poésie est un mode de vie, une forme sus­pendue à un fil, par­fois très mince, qui nous per­met de faire face à notre his­toire Tra­vers­er la vie au moyen de l’écri­t­ure, c’est adopter une pra­tique où notre être tout entier écrit.

La poésie est une manière de regarder le monde. Il n’ex­iste pas de regard pré­cis. Alors la métaphore nous offre la pos­si­bil­ité de par­ler de ce que nous ne pou­vons pas nom­mer. Le regard poé­tique com­prend ce qui est insai­siss­able dans le monde. L’écri­t­ure poé­tique naît en moi, plus comme une obses­sion que comme une musique ou des images.“Depuis 1995, Cristi­na Domenech par­ticipe à de nom­breux con­grès et à des ren­con­tres d’écrivains, nationales et inter­na­tionales, par­mi lesquelles le fes­ti­val inter­na­tion­al de poésie de La Havane, Cuba, en 2009 et 2010 et Cos­mopéti­ca à Cór­do­ba, Espagne, en 2013.

Elle a pub­lié : “Impal­pa­ble”en 1994, “Con­den­sación de la Luz” en 1998, Tier­ra Negra  en 1999, Demu­da­do en 2007, une “Antholo­gie de poèmes” en 2010, “En Voz Baja”, antholo­gie de poèmes en 2011 et “Sin­taxis del nudo” en 2013Cristi­na Domenech est née le 21 juin 1954 à San Isidro, Buenos Aires. Elle est poète et philosophe. Après des études de let­tres et de sci­ences sociales, elle a fait une licence en philoso­phie à l’u­ni­ver­sité de ges­tion et sci­ences sociales (UCES), sa thèse por­tant sur le prob­lème de la didac­tique en philoso­phie. Elle coor­donne des ate­liers de lec­ture et d’écri­t­ure pour enfants et adultes, ain­si que pour les détenus du cen­tre péni­ten­ti­aire San Mar­tin à Buenos Aires. Elle pro­pose d’u­tilis­er le lan­gage comme moyen de libéra­tion et comme mode de change­ment du monde.

La poésie est un mode de vie, une forme sus­pendue à un fil, par­fois très mince, qui nous per­met de faire face à notre his­toire Tra­vers­er la vie au moyen de l’écri­t­ure, c’est adopter une pra­tique où notre être tout entier écrit.
La poésie est une manière de regarder le monde. Il n’ex­iste pas de regard pré­cis. Alors la métaphore nous offre la pos­si­bil­ité de par­ler de ce que nous ne pou­vons pas nom­mer. Le regard poé­tique com­prend ce qui est insai­siss­able dans le monde. L’écri­t­ure poé­tique naît en moi, plus comme une obses­sion que comme une musique ou des images.

Depuis 1995, elle par­ticipe à de nom­breux con­grès et à des ren­con­tres d’écrivains, nationales et inter­na­tionales, par­mi lesquelles le fes­ti­val inter­na­tion­al de poésie de La Havane, Cuba, en 2009 et 2010 et Cos­mopéti­ca à Cór­do­ba, Espagne, en 2013.

Elle a pub­lié : “Impal­pa­ble”en 1994, “Con­den­sación de la Luz” en 1998, Tier­ra Negra  en 1999, Demu­da­do en 2007, une “Antholo­gie de poèmes” en 2010, “En Voz Baja”, antholo­gie de poèmes en 2011 et “Sin­taxis del nudo” en 2013.

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