cet art que tu portes dans la voix et offres
    de ren­dre sim­ple et légère la vie
    cet art incer­tain que la mort ensauvage
    langue pre­mière et désaccoutumée
    lis­sage de terre après retournement –

    aveu­gles mes yeux vont à la source noire
    tu appelles à l’é­tang le gar­di­en des enfers –

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