cette ville serait éty­mologique­ment dérivée de paradis.
dis­ais-tu. ou de parasite.
nom­breux sont les jours où dans ton exis­tence la Seine fait des siennes.
par­fois cepen­dant ce ne sont que les bateaux.
dans les axes du devoir les ban­lieusards font osciller les rues,
avec leur manière de pas­sage cartographique.
devant quelques églis­es nous sommes tombés sur l’attente catholique.
nous avons par­ticipé patiem­ment au jocondisme et au métal d’Eiffel.
plus tard nous avons con­venu de la date à par­tir du nombre
des voitures incendiées.
nous en con­nais­sions la rai­son. c’était le présent.

 

[Trans­lat­ed by Tom Nisse]

 

so Paris

 

diese Stadt, sagtest du, stamme ety­mol­o­gisch von Paradies ab.
oder Parasit.
an vie­len Tagen bes­timme die Seine das Sein.
manch­mal jedoch nur die Schiffe.
auf den Pflich­tach­sen brin­gen Pendler die Straßen zum Schwingen,
mit ihrer beiläu­fig kar­tografis­chen Art.
vor eini­gen Kirchen stießen wir auf katholis­ches Warten.
geduldig nah­men wir teil an Mon­al­i­sais­mus und Eiffelmetall.
das Datum bes­timmten wir später anhand der Zahl
bren­nen­der Autowracks.
wir wussten warum. es war Gegenwart.

 

so Paris” is from “Frag­men­tierte Gewäss­er”, Berlin Ver­lag 2007
http://www.bloomsbury-verlag.de/bucher/bucherDetails.asp?isbn=9783827006950

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