Echap­per à mes mots:
Ster­nutare.
Sec­tion­ner les tendons
Ster­nutare
Des sen­ti­ments si prompts
Ster­nutare
A sus­citer l’émoi.

Ster­nutare, sternutare…
Ster­nutare.

Il m’a fal­lu bien trop de temps
Pour voir poindre en tes yeux si clairs
Mon reflet; un désir latent
Pour ton idée comme ta chair

En chaque part de larme
Ster­nutare
Rési­dent les profondes
Ster­nutare
Caus­es de tous nos mondes:
Ster­nutare
L’allergène anaphase.

Ster­nutare, sternutare…
Sternutare.

Cette irri­tante allégorie,
Atteint le troc, non l’addiction,
Moins les muqueuses que l’esprit,
Mais prend d’assaut nos discussions

Ster­nutare, sternutare…
Ster, ster… Sternutare.

image_pdfimage_print