Jean Dif écrit de la poésie depuis son ado­les­cence. En 1956, les Cahiers de Rochefort pub­lièrent un de ses pre­miers recueils : La Voix Publique. Cette pub­li­ca­tion fut suiv­ie d’une longue péri­ode de silence pen­dant laque­lle il con­tin­ua néan­moins à écrire. Au cours de la dernière décen­nie du vingtième siè­cle, il se remit à pub­li­er. Plusieurs revues, français­es et étrangères ont accueil­li ses textes. Cer­tains d’entre eux ont été traduits en espag­nol, en anglais et en néer­landais. Il est actuelle­ment l’auteur d’une dizaine de recueils. Citons : Vari­a­tions, Netchaiev dit, Masques de givre, Sous les couteaux des hor­loges, aux édi­tions Encres Vives et L’aile de la cen­dre, chez Edilivre, dans lequel sont repris des poèmes de la péri­ode 1956–1990.

Jean Dif est égale­ment l’auteur d’ouvrages his­toriques et de réc­its de voy­age. Il a traduit des poèmes de plus d’une cen­taine d’écrivains étrangers, de l’anglais et surtout de l’espagnol. Ces tra­duc­tions peu­vent être lues sur son site Inter­net : http://jean.dif.free.fr. Il est le tra­duc­teur du recueil du poète espag­nol San­ti­a­go Mon­to­b­bio : La poésie est un fond d’eau marine, pub­lié par les Edi­tions du Cygne, en 2011, et celui du recueil du poète argentin  Luis Benítez : Les Imag­i­na­tions, pub­lié en 2013 chez L’Harmattan.

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