Pierre Sig­uret est né en 1940 à Dun-sur-Auron (Cher, France), cap­i­tale de la cham­pagne pouilleuse berri­chonne. Après ses études pri­maires à l’école publique Michelet de Dun-sur-Auron, il est reçu par­mi les trois pre­miers de son départe­ment au con­cours d’entrée en six­ième en 1950. Sol­lic­ité par le pro­viseur du Lycée de Bourges, il y entre pour faire ses études sec­ondaires. Il en sort bache­li­er de philoso­phie en 1958 avec la men­tion Assez Bien. 

Il fait des études de let­tres supérieures et de pre­mière supérieure au Lycée Poth­ier à Orléans. Il obtient le CELGM (Cer­ti­fi­cat d’Études Lit­téraires Générales Mod­ernes), puis il part faire des études à Mont­pel­li­er. Il inter­rompt ses études pour voy­ager pen­dant qua­tre ans et il part faire son ser­vice mil­i­taire en 1964 en Allemagne.

Au retour, il com­plète une licence de Let­tres à Tours. Il enseigne de 1966 à 1972 à Tours et à Paris. Il se marie égale­ment à Paris en 1968 avec Françoise Vau­chot. Puis il choisit de devenir actu­aire dans une grande com­pag­nie d’assurances anglaise. Il voy­age dans toute l’Europe pen­dant dix ans. Licen­cié en 1982 à cause de com­pres­sions budgé­taires, il émi­gre au Cana­da comme con­seiller économique ayant obtenu un MBA à l’université de Paris VII.

Pas­sion­né de lit­téra­ture et de ciné­ma, il reprend des études à Ottawa où il obtient une maîtrise en Let­tres Français­es à l’Université Car­leton puis un doc­tor­at à l’Université d’Ottawa en 1996. Il enseigne dans plusieurs uni­ver­sités du Québec et de l’Ontario. Spé­cial­iste des lit­téra­tures française, anglaise, améri­caine et his­panique. Il donne plusieurs cours de ciné­ma à l’Université Queens de Kingston (Ontario) puis à l’Université du Cap-Bre­ton à Syd­ney (Nou­velle-Écosse). Spé­cial­iste des langues, il développe ses con­nais­sances des langues cel­tiques, amérin­di­ennes et polynési­ennes. Il organ­ise deux col­lo­ques inter­na­tionaux sur les langues cel­tiques et les langues menacées.

Il réalise plusieurs tra­duc­tions de l’anglais vers le français pour les sociétés savantes du Cap Breton.

Depuis plusieurs années, il tente d’organiser un pro­jet-pilote pour étudi­er la civil­i­sa­tion polynési­enne de Rapa-Nui (Île de Pâques).

Il se con­sacre aus­si à la poésie, à l’essai et au roman.

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