Voiles après voiles l’existence nous dénude
Il ne reste plus alors que son affir­ma­tion heureuse
Vers l’infini s’ouvre une fenêtre de mots
L’impermanence est ce mys­tère qui élève nos pas
En brisures d’inconnu, fugaces éclats
Accrochant l’espoir à l’ouverture d’un vide
Alcôve d’étoiles, océan de signes
En chaque homme il y a un poème à déchiffrer
L’alphabet d’un ciel perdu

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