Anne-Lise Blanchard

2023-11-06T19:52:16+01:00

Anne-Lise Blan­chard : Danseuse, choré­graphe, puis thérapeute. Longtemps col­lab­o­ra­trice de plusieurs revues de créa­tion lit­téraire et artis­tique dont Ver­so, Lieux d’Etre, Diérèse, présente en revues et antholo­gies. Plusieurs de ses poèmes sont traduits en ital­ien, anglais, espag­nol. Organ­ise le Print­emps poé­tique de Saint-Geoire-en-Val­daine, au pied de la Char­treuse dont elle aime à par­courir cin­gles et som­mets ; mem­bre du Prix Étio­phile de lit­téra­ture africaine et des Caraïbes (pour se décen­tr­er, à défaut de se ren­dre dans ces con­trées) ; poète invité à la 26 e édi­tion du fes­ti­val de poésie de Sète « Voix vives de la méditer­ranée ». Plusieurs revues lui ont dédié un dossier : Diérèse n°45, été 2009 ; Dip­tyque #3, Entre-Deux, 2013 ; Poésie / pre­mière n°74, La poésie est danse, entre­tien avec Jacque­line Persi­ni, sep­tem­bre 2019 ; Tra­ver­sées n°101, été 2022.

Dernières pub­li­ca­tions : Une odeur d’enfance, poésie jeunesse, Voix Tis­sées (2023) ; Solil­oque pour ELLES, Tran­signum (2023) ; L’Horizon patient, Ad Solem (2022) ; Le Ravisse­ment de la marche, haïkus, Ate­lier du Grand Tétras (2021) ; Épit­o­mé du mort et du vif, Jacques André éd. (2019) ; Les jours suff­isent à son émer­veille­ment, Unic­ité (2018) ; Le Soleil s’est réfugié dans les cail­loux, Ad Solem (2017). https://anne-lise-blanchard.com/

Autres lec­tures

Trois écritures de femmes

L’écri­t­ure n’est ni fémi­nine, ni mas­cu­line. Le tra­vail d’écrire, avec la matière du lan­gage, puise à l’u­ni­versel, par-delà les gen­res, ce que démon­trent ces lec­tures des derniers recueils d’Elo­dia Tur­ki, Anne-Lise Blan­chard et […]

Anne-Lise Blanchard, épitomé du mort et du vif

Comme « abrégé d’un ouvrage antique », selon la déf­i­ni­tion du Petit Robert, « épit­o­mé » s’applique sans doute à cette étude sen­si­ble des traces du vivant et du dis­paru, selon un regard qui puisse énon­cer ces […]

Anne-Lise Blanchard, L’horizon patient

 La poésie d’Anne-Lise Blan­chard est celle de la retenue, du bref qui « fait sens ». L’intérêt qu’elle peut porter à l’épure de la poésie japon­aise — ver­sion haïku — n’est pas étranger à cette […]

Sommaires

Aller en haut