Jean Dupont est né dans un mimosa en fleur dans la ban­lieue Est de Paris. Il n’a pas trop étudié, ni tra­vail­lé, ni fait grand-chose, ni vu grand-chose, ni même grand monde, ne lui deman­dez pas de cv s’il vous plaît, ça le fait rou­gir. Mais il a beau­coup fréquen­té les gar­dons et s’est posé très sérieuse­ment l’épineux prob­lème de l’introduction des pois­sons-chats et autres espèces sil­u­ri­formes dans les eaux douces européennes. Cepen­dant, le cours du temps étant aus­si inéluctable que celui des riv­ières, Jean Dupont dut grandir un jour et quit­ta son petit bras d’eau. Sur son chemin, son vélo s’arrêta dans les forêts du Mor­van où il ren­con­tra deux énormes arbres, un chêne et un hêtre, aux pris­es dans un très lent com­bat, qui lui demandèrent d’arbitrer leur affron­te­ment et d’en tenir la chronique pour tous les habi­tants, ani­maux, plantes et insectes du vil­lage. Ain­si apprit-il à écrire. Il vit aujourd’hui de la générosité de cette petite com­mu­nauté où il occupe la fonc­tion d’amuseur tout en con­tin­u­ant, bien sûr, d’écrire ses petites chroniques.

Bib­li­ogra­phie 

  • Écri­t­ure de plusieurs pièces de théâtre.
  • Pub­li­ca­tion dans le numéro 16 de l’illustre et mer­veilleuse revue du Cafard Héré­tique de textes issus de ma pièce L’amour au pre­mier regard.
  • Pub­li­ca­tion à venir dans le numéro de mai de la revue Recours au Poème d’un texte issu de ma pièce Avec la mort à bicyclette.
  • Dra­maturge sur le spec­ta­cle Plongée d’hiver, tiré de ma pre­mière pièce, et représen­té à Brux­elles en févri­er 2022 dans les locaux de l’association Quai 41 dans le cadre d’une sor­tie de résidence.

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