L atte­sa è lunga,
il mio sog­no di te non è finito.
EUGENIO MONTALE, Il sog­no del prigioniero

L’at­tente est longue,
Je n’ai pas fini de rêver de toi.
EUGENIO MONTALE, Il sog­no del prigioniero

I

Non vole­vi la cit­tà dei morti,
eppure ti rapirono i tulipani,
le spose sfio­rate dagli angeli.

Gli aman­ti fis­sati nel­la pietra:
hai abbrac­cia­to Maria Delmas,
una sto­ria di sangue del 1908.

Con­tem­plavi la giovinezza
sem­pre sospe­sa in un bacio.

Mi inseg­navi quan­ta verità
tro­va riparo nel­la tenerezza.

I

Tu ne voulais pas de la cité des morts,
les tulipes pour­tant te capturèrent
épous­es effleurées par les anges.

Les amants gravés dans la pierre:
tu as étreint Maria Delmas,
une affaire de sang de 1908.

Tu con­tem­plais la jeunesse
à jamais sus­pendue dans un baiser.

Tu m’en­seignas com­bi­en de vérité
se refugie dans la tendresse.

II

Baci­a­va la fronte di lei
sapen­do l’eredità dell’addio,
la sua ulti­ma corona.

Dialo­ga­va con la nostalgia,
sen­ti­men­to sen­za polarità,
diver­so dall’odio e dall’amore.

Desider­a­va unir­si a lei,
che si torce­va nel buio
e sem­pre lo richiamava
tra le polveri di Staglieno.

2

Il l’embrassa sur le front
con­scient de l’héritage des adieux,
sa dernière couronne.

Il dia­loguait avec la nostalgie,
sen­ti­ment sans polarité,
dif­férent de la haine et de l’amour.

Il désir­ait s’u­nir à elle,
qui se tor­dait dans le noir
et tou­jours le rappelait
par­mi les cen­dres de Staglieno.

 

III

Ricor­da­va l’alba del loro amore,
l’identità che ave­vano lambito,
supe­ri­ore alla som­ma dei singoli,
sin­te­si per­fet­ta di carne e spirito:
ani­me dilatate nel­la promessa
di strade e oriz­zon­ti insieme.

E ardore di conoscenza
e una lun­ga discendenza.

Avreb­bero super­a­to creste,
crisi tra essere e dover essere,
la par­al­isi del­la volontà
che ave­va fer­i­to i loro padri.

3

Il se sou­ve­nait de l’aube de leur amour,
l’i­den­tité effleurée,
supérieure à la somme des individus,
syn­thèse par­faite de chair et d’esprit:
âmes dilatées dans la promesse
de routes et d’hori­zons communs.

Et l’ardeur de la connaissance
et une longue descendance.

Ils auraient passé des crêtes,
crise entre être et devoir être,
paralysie de la volonté
qui avait blessé leurs pères.

IV

Riv­ide il padre al gre­to del­lo Scrivia
e la fun­ga­ia sug­li Appennini:
il male si alza­va improvviso,
la tes­ta dell’aspide sui rami.

Veni­vano donne del passato,
icone gelide e seduttrici,
che tarla­vano il sog­no di lei.

Lei che sape­va accogliere
e sor­ride­va in silenzio.

Memo­ria e inson­nia erano
i sig­illi del­la sua reggia.

 

4

Il revit son père sur la grève de la Scrivia
et la champignon­nière sur les Apennins:
le mal dressé à l’improviste,
la tête de l’aspic sur les branches.

Venaient des femmes du passé,
icônes glacées et séductrices,
qui rongeaient son rêve d’elle.

Elle qui savait accueillir
et en silence souriait.

La mémoire et l’in­som­nie étaient
les sceaux de son royaume.

 

V

Luc­ci­ole nel­la notte di velluto:
anche questo è paradiso.

Caino apri­va il quaderno,
con­tem­pla­va pia­nure tra le stelle,
accor­da­va luce e dolore
nel nucleo esteti­co ed esistenziale.

Sil­l­aba­va il nome di lei
che nel sog­no rifior­i­va in vita.

 

5

Des luci­oles dans la nuit de velours:
cela aus­si est  par­adis.

Caïn ouvrait le cahier,
con­tem­plait les plaines des étoiles,
accor­dait lumière et douleur
dans le noy­au esthé­tique et existentiel.

Il épelait son nom à elle
qui dans le rêve  fleuris­sait de nou­veau à la vie.

 

VI

Eppure in origine
i due era­no una carne sola.

Cer­ca­va nelle storie,
nelle intense corrispondenze,
trac­ce del­la felic­ità primaria.

Un Eden appe­na intravisto.

Dove­va esser­ci il giardino,
la ter­ra toc­ca­ta dai mistici,
la cit­tà dei desideri accordati.

Nei sog­ni anche lei tornava,
l’ultimo luglio del liceo,
con lo smal­to e il vesti­to turchese.

6

Pour­tant à l’origine
les deux étaient une seule chair.

Il cher­chait dans les récits,
dans les cor­re­spon­dances intenses,
des traces du bon­heur initial.

Un Eden à peine entrevu

Il devait y avoir le jardin,
la terre touchée par les mystiques,
la cité des désirs exaucés.

Dans les rêves elle aus­si revenait,
le dernier juil­let du lycée,
du ver­nis sur les ongles et sa robe turquoise.

 

VII

Riposa­va nel­la luce di Genova
e ritor­na­va alle cose ultime:
se la con­dizione finale fosse
amore o pura contemplazione.

E il pen­siero cadde su di lei
che volle conoscere per ardore.

Ricordò gli anni del liceo,
la pri­ma lezione di filosofia,
come lam­bire la vita felice.

 

7

Il se repo­sait dans la lumière de Gênes
et retour­nait aux choses dernières :
si la con­di­tion finale était
amour ou pure contemplation.

Et la pen­sée tombait sur elle
qu’il voulait con­naître par ardeur.

Il se sou­vint des années de lycée,
le pre­mier de philosophie,
comme frôler la félicité.

L’é­cho du Sym­po­sium de Platon
s’é­tait répan­du entre les bancs,
le garçon saisit la définition
d’Eros, né de divinités mineures,
d’in­quié­tudes et de privations.

 

Alessan­dro Rivali présente son recueil de poèmes La cadu­ta di Bisanzio au Cir­co­lo Cer­iz­za de Milan, le 27 avril 2011. La réu­nion était organ­isée par Anna Lam­ber­ti-Boc­coni. La vidéo est réal­isée par Saul Stuc­chi pour ALIBI Online, www.alibionline.it.

∗∗∗

L eco del Sim­po­sio di Platone
si era dif­fu­so tra i banchi,
il ragaz­zo colse la definizione
di Eros, nato da divinità minori,
da inqui­etu­di­ni e privazioni.

L’é­cho du ban­quet de Platon 
s’é­tait répan­du par­mi les bancs. 
Le jeune homme saisit la définition 
d’Eros, fils de divinités mineurs, 
d’in­quié­tude et de privation

 

VIII

Si addor­men­ta­va sulle foto di lei
come per un richi­amo, un segno
per riaver­la almeno in sogno.

C’era invece un vec­chio ustionato,
che parla­va di crea­ture fluviali
e ona­gri in cor­sa nel vento,
di come fos­se sen­za ritorno
il que­si­to sul­la sor­gente del buio.

 

8

Il s’en­dor­mait sur ses pho­tos d’elle
comme pour un rap­pel, un signe
pour la ravoir au moins en  rêve.

Il y avait au con­traire  un vieil homme brûlé,
qui par­lait de créa­tures fluviales
et d’on­a­gres courant dans le vent,
de comme était sans retour
la quête sur l’o­rig­ine des ténèbres.

 

IX

Fu lei ad accen­dere la notte,
epi­fa­nia chia­ma­ta dal sogno,
tra cav­al­cavia e tor­ri di smalto:
un nuo­vo amore vesti­to di alba,
oltre la tor­ba del possesso.

Lei scese in for­ma d’airone,
vici­no al lago degli indemoniati,
splen­di­da nel­la sua seta turchese.

Pote­va riposare in quegli occhi,
nelle estasi in volo di Chagall,
seg­no del­la stel­la sen­za tramonto.

9

C’est elle qui éclaira la nuit,
épiphanie appelée du rêve,
entre des via­ducs et des tours en émail:
un nou­v­el amour vêtu d’aube,
au-delà de la tourbe de  pos­ses­sion.

Elle descen­dit sous forme de héron,
près du lac des possédés,
splen­dide dans sa soie turquoise.

Elle pou­vait se repos­er dans ces yeux,
dans les extases en vol de Chagall,
signe de l’é­toile sans déclin.

 

X

Seguì la gioia dei murales,
una con­cen­tri­ca dan­za di Miró
negli allu­ci­nati not­turni di Milano.

“Se devi dimenticarmi,
fal­lo, ma molto lentamente”,
ritor­na­va il rit­mo di Quintana

Riv­ide il liceo sul­la collina
e la promes­sa per ritrovarsi
nel­la ter­ra dei contemplativi.

10

Suiv­it la joie des fresques,
une danse con­cen­trique de Miró
dans les noc­turnes hal­lu­cinés de Milan.

«Si tu dois m’oublier,
fais-le, mais très lentement “,
reve­nait le rythme de Quintana .

Il revit le lycée sur la colline
et la promesse de se retrouver
dans la terre des contemplatifs.

 

Le poète Alessan­dro Rivali lit sa nou­velle Rouge, à l’oc­ca­sion du toast de Noël organ­isé par Edi­zioni Ares dans ses bureaux de Milan, le 22 décem­bre 2011. Vidéo éditée par Saul Stuc­chi pour ALIBI Online, www.alibionline.it

∗∗∗

ÖTZI

 

XI

Adamo rac­con­ta­va del giardino,
di lunghi giorni a donare i nomi:
ai coral­li dei fon­dali, alla festa
bian­ca delle orchidee, ai cardi,
alle falene sospese nel vento.

Eppure, i col­ori sbiadivano
se ricor­da­va quel lento sogno,
quel risveg­lio tra i fumi dell’alba,
quan­do vide lei per la pri­ma volta
a pie­di nudi sull’erba del giardino.

 

11

Adam racon­tait le jardin,
les longues journées pour don­ner des noms:
aux coraux des fonds marins, à la fête
blanche des orchidées, aux chardons,
aux phalènes sus­pendues au vent.

Pour­tant, les couleurs se fanaient
s’il se sou­ve­nait de ce lent rêve,
ce réveil dans les fumées de l’aube,
quand il la vit pour la pre­mière fois
pieds nus sur l’herbe dans le jardin.

 

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Marilyne Bertoncini

Biogra­phie Enseignante, poète et tra­duc­trice (français, ital­ien), codi­rec­trice de la revue numérique Recours au Poème, à laque­lle elle par­ticipe depuis 2012, mem­bre du comité de rédac­tion de la revue Phoenix, col­lab­o­ra­trice des revues Poésie/Première et la revue ital­i­enne Le Ortiche, où elle tient une rubrique, “Musarder“, con­sacrée aux femmes invis­i­bil­isées de la lit­téra­ture, elle, ani­me à Nice des ren­con­tres lit­téraires men­su­elles con­sacrées à la poésie, Les Jeud­is des mots dont elle tient le site jeudidesmots.com. Tit­u­laire d’un doc­tor­at sur l’oeu­vre de Jean Giono, autrice d’une thèse, La Ruse d’I­sis, de la Femme dans l’oeu­vre de Jean Giono, a été mem­bre du comité de rédac­tion de la revue lit­téraire RSH “Revue des Sci­ences Humaines”, Uni­ver­sité de Lille III, et pub­lié de nom­breux essais et arti­cles dans divers­es revues uni­ver­si­taires et lit­téraires français­es et inter­na­tionales : Amer­i­can Book Review, (New-York), Lit­téra­tures (Uni­ver­sité de Toulouse), Bul­letin Jean Giono, Recherch­es, Cahiers Péd­a­gogiques… mais aus­si Europe, Arpa, La Cause Lit­téraire… Un temps vice-prési­dente de l’association I Fioret­ti, chargée de la pro­mo­tion des man­i­fes­ta­tions cul­turelles de la Rési­dence d’écrivains du Monastère de Saorge, (Alpes-Mar­itimes), a mon­té des spec­ta­cles poé­tiques avec la classe de jazz du con­ser­va­toire et la mairie de Men­ton dans le cadre du Print­emps des Poètes, invité dans ses class­es de nom­breux auteurs et édi­teurs (Bar­ry Wal­len­stein, Michael Glück…), organ­isé des ate­liers de cal­ligra­phie et d’écriture (travaux pub­liés dans Poet­ry in Per­for­mance NYC Uni­ver­si­ty) , Ses poèmes (dont cer­tains ont été traduits et pub­liés dans une dizaine de langues) en recueils ou dans des antholo­gies se trou­vent aus­si en ligne et dans divers­es revues, et elle a elle-même traduit et présen­té des auteurs du monde entier. Par­al­lèle­ment à l’écri­t­ure, elle s’in­téresse à la pho­togra­phie, et col­la­bore avec des artistes, plas­ti­ciens et musi­ciens. Site : Minotaur/A, http://minotaura.unblog.fr * pub­li­ca­tions récentes : Son Corps d’om­bre, avec des col­lages de Ghis­laine Lejard, éd. Zin­zo­line, mai 2021 La Noyée d’On­a­gawa, éd. Jacques André, févri­er 2020 (1er prix Quai en poésie, 2021) Sable, pho­tos et gravures de Wan­da Mihuleac, éd. Bilingue français-alle­mand par Eva-Maria Berg, éd. Tran­signum, mars 2019 (NISIP, édi­tion bilingue français-roumain, tra­duc­tion de Sonia Elvire­anu, éd. Ars Lon­ga, 2019) Memo­ria viva delle pieghe, ed. bilingue, trad. de l’autrice, ed. PVST. Mars 2019 (pre­mio A.S.A.S 2021 — asso­ci­azione sicil­iana arte e scien­za) Mémoire vive des replis, texte et pho­tos de l’auteure, éd. Pourquoi viens-tu si tard – novem­bre 2018 L’Anneau de Chill­i­da, Ate­lier du Grand Tétras, mars 2018 (man­u­scrit lau­réat du Prix Lit­téraire Naji Naa­man 2017) Le Silence tinte comme l’angélus d’un vil­lage englouti, éd. Imprévues, mars 2017 La Dernière Oeu­vre de Phidias, suivi de L’In­ven­tion de l’ab­sence, Jacques André édi­teur, mars 2017. Aeonde, éd. La Porte, mars 2017 La dernière œuvre de Phidias – 453ème Encres vives, avril 2016 Labyrinthe des Nuits, suite poé­tique – Recours au Poème édi­teurs, mars 2015 Ouvrages col­lec­tifs — Antolo­gia Par­ma, Omag­gio in ver­si, Bertoni ed. 2021 — Mains, avec Chris­tine Durif-Bruck­ert, Daniel Rég­nier-Roux et les pho­tos de Pas­cal Durif, éd. du Petit Véhicule, juin 2021 — “Re-Cer­vo”, in Trans­es, ouvrage col­lec­tif sous la direc­tion de Chris­tine Durif-Bruck­ert, éd. Clas­siques Gar­nier, 2021 -Je dis désirS, textes rassem­blés par Mar­i­lyne Bertonci­ni et Franck Berthoux, éd. Pourquoi viens-tu si tard ? Mars 2021 — Voix de femmes, éd. Pli­may, 2020 — Le Courage des vivants, antholo­gie, Jacques André édi­teur, mars 2020 — Sidér­er le silence, antholo­gie sur l’exil – édi­tions Hen­ry, 5 novem­bre 2018 — L’Esprit des arbres, édi­tions « Pourquoi viens-tu si tard » — à paraître, novem­bre 2018 — L’eau entre nos doigts, Antholo­gie sur l’eau, édi­tions Hen­ry, mai 2018 — Trans-Tzara-Dada – L’Homme Approx­i­matif , 2016 — Antholo­gie du haiku en France, sous la direc­tion de Jean Antoni­ni, édi­tions Aleas, Lyon, 2003 Tra­duc­tions de recueils de poésie — Aujour­d’hui j’embrasse un arbre, de Gio­van­na Iorio, éd. Imprévues, juil­let 2021 — Soleil hési­tant, de Gili Haimovich, éd. Jacques André , avril 2021 — Un Instant d’é­ter­nité, Nel­lo Spazio d’un istante, Anne-Marie Zuc­chel­li (tra­duc­tion en ital­ien) éd ; PVST, octo­bre 2020 — Labir­in­to delle Not­ti (ined­i­to — nom­iné au Con­cor­so Nazionale Luciano Ser­ra, Ital­ie, sep­tem­bre 2019) — Tony’s blues, de Bar­ry Wal­len­stein, avec des gravures d’Hélène Baut­tista, éd. Pourquoi viens-tu si tard ?, mars 2020 — Instan­ta­nés, d‘Eva-Maria Berg, traduit avec l’auteure, édi­tions Imprévues, 2018 — Ennu­age-moi, a bilin­gual col­lec­tion , de Car­ol Jenk­ins, tra­duc­tion Mar­i­lyne Bertonci­ni, Riv­er road Poet­ry Series, 2016 — Ear­ly in the Morn­ing, Tôt le matin, de Peter Boyle, Mar­i­lyne Bertonci­ni & alii. Recours au Poème édi­tions, 2015 — Livre des sept vies, Ming Di, Recours au Poème édi­tions, 2015 — His­toire de Famille, Ming Di, édi­tions Tran­signum, avec des illus­tra­tions de Wan­da Mihuleac, juin 2015 — Rain­bow Snake, Ser­pent Arc-en-ciel, de Mar­tin Har­ri­son Recours au Poème édi­tions, 2015 — Secan­je Svile, Mémoire de Soie, de Tan­ja Kragu­je­vic, édi­tion trilingue, Beograd 2015 — Tony’s Blues de Bar­ry Wal­len­stein, Recours au Poème édi­tions, 2014 Livres d’artistes (extraits) La Petite Rose de rien, avec les pein­tures d’Isol­de Wavrin, « Bande d’artiste », Ger­main Roesch ed. Aeonde, livre unique de Mari­no Ros­set­ti, 2018 Æncre de Chine, in col­lec­tion Livres Ardois­es de Wan­da Mihuleac, 2016 Pen­sées d’Eury­dice, avec les dessins de Pierre Rosin : http://www.cequireste.fr/marilyne-bertoncini-pierre-rosin/ Île, livre pau­vre avec un col­lage de Ghis­laine Lejard (2016) Pae­sine, poème , sur un col­lage de Ghis­laine Lejard (2016) Villes en chantier, Livre unique par Anne Poupard (2015) A Fleur d’é­tang, livre-objet avec Brigitte Marcer­ou (2015) Genèse du lan­gage, livre unique, avec Brigitte Marcer­ou (2015) Dae­mon Fail­ure deliv­ery, Livre d’artiste, avec les burins de Dominique Crog­nier, artiste graveuse d’Amiens – 2013. Col­lab­o­ra­tions artis­tiques visuelles ou sonores (extraits) — Damna­tion Memo­ri­ae, la Damna­tion de l’ou­bli, lec­ture-per­for­mance mise en musique par Damien Char­ron, présen­tée pour la pre­mière fois le 6 mars 2020 avec le sax­o­phon­iste David di Bet­ta, à l’am­bas­sade de Roumanie, à Paris. — Sable, per­for­mance, avec Wan­da Mihuleac, 2019 Galerie Racine, Paris et galerie Depar­dieu, Nice. — L’En­vers de la Riv­iera mis en musique par le com­pos­i­teur Man­soor Mani Hos­sei­ni, pour FESTRAD, fes­ti­val Fran­co-anglais de poésie juin 2016 : « The Far Side of the Riv­er » — Per­for­mance chan­tée et dan­sée Sodade au print­emps des poètes Vil­la 111 à Ivry : sur un poème de Mar­i­lyne Bertonci­ni, « L’homme approx­i­matif », décor voile peint et dess­iné, 6 x3 m par Emi­ly Wal­ck­er : L’Envers de la Riv­iera mis en image par la vidéaste Clé­mence Pogu – Festrad juin 2016 sous le titre « Proche Ban­lieue» Là où trem­blent encore des ombres d’un vert ten­dre – Toile sonore de Sophie Bras­sard : http://www.toilesonore.com/#!marilyne-bertoncini/uknyf La Rouille du temps, poèmes et tableaux tex­tiles de Bérénice Mollet(2015) – en par­tie pub­liés sur la revue Ce qui reste : http://www.cequireste.fr/marilyne-bertoncini-berenice-mollet/ Pré­faces Appel du large par Rome Deguer­gue, chez Alcy­one – 2016 Erra­tiques, d’ Angèle Casano­va, éd. Pourquoi viens-tu si tard, sep­tem­bre 2018 L’esprit des arbres, antholo­gie, éd. Pourquoi viens-tu si tard, novem­bre 2018 Chant de plein ciel, antholo­gie de poésie québé­coise, PVST et Recours au Poème, 2019 Une brèche dans l’eau, d’E­va-Maria Berg, éd. PVST, 2020 Soleil hési­tant, de Gili Haimovich, ed Jacques André, 2021 Un Souf­fle de vie, de Clau­dine Ross, ed. Pro­lé­gomènes, 2021