Née en 1985 à Limoges, Anne-Cécile Causse vit et travaille aujourd’hui à Paris. Dans le cadre de ses études de littérature allemande, elle s’interroge, au regard de l’expérience de la seconde guerre mondiale, sur les rapports entre langage et silence, sur une possible expression de l’intériorité dans les poèmes d’Ingeborg Bachmann. Les rapports entre l’écrivain, la langue et le monde étant bouleversés, la question des limites du langage et d’une possible “voix” littéraire et poétique se pose et son intérêt se porte sur le non-dit, sur les “creux” du poème, sur cet écart entre compréhension et explication, là où ce qui profondément “signifie”, peut s’exprimer.
En 2011, elle participe au concours de poésie organisé par l’Association internationale La Porte des Poètes et remporte un des prix Accessit. Les poèmes seront publiés dans la Revue La Porte des Poètesau printemps 2012. Depuis elle est publiée dans les revues Le Capital des mots, Neiges, Francopolis, Recours au poème,Ce qui reste, Arpa, Ecrit(s) du Nord, Poésie/première, Thauma, sur le blog Monde en poésie, animé par Brigitte Maillard, ainsi que dans l’anthologie de poésie contemporaine en ligne Poésie maintenant, dirigée par Pierre Maubé. Elle participe à l’Anthologie « Duos » dirigée par Lydia Padellec regroupant 118 jeunes poètes de langue française publiée en mars 2018 par la revue Bacchanales.
Son premier recueil, L’Aube, après toi, paraît en mai 2012 chez L’Echappée Belle éditions. Son second recueil,Autrement que la rive, un dialogue entre ses poèmes et les dessins d’Anaïs Charras paraît en mai 2017 aux Editions Unicité.
Elle reçoit la mention spéciale du jurydu Prix de la découverte poétique Simone de Carfort 2018 pour son dernier manuscrit, Stabat Mater.
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