Louise Brun

2019-10-25T06:55:04+02:00

Née en 1963, c’est la danse con­tem­po­raine qui fut son pre­mier méti­er. Puis, son intérêt pour la langue et l’écriture l’ont con­duite à pour­suiv­re des études de Let­tres mod­ernes et à devenir enseignante. La langue, mais tous les lan­gages, en tant qu’ils con­tribuent à une écri­t­ure com­pos­ite du monde l’incitent à explor­er l’image, via le dessin et la pein­ture (voire, la pho­togra­phie et la vidéo). Egale­ment psy­cho­logue clin­i­ci­enne, la psy­ch­analyse est aus­si un fil qui l’amène à tiss­er du lien…entre mots, espaces, signes, sons, et la (les) voix qui les sou­ti­en­nent, les dis­ent. L’espace-temps si par­ti­c­uli­er du poème devient alors pour elle ce lieu si par­ti­c­uli­er et si pré­cieux où peut se déploy­er et être expéri­men­tée une expres­sion au plus près de la sen­sa­tion intime.


Livres :

Trau­ma (puz­zle) (2015), aux Con­tem­po­rains favoris 
http://contemporains-favoris.blogspot.fr/2014/07/disponible-trauma-puzzle-de-louise-brun.html

 Sat­u­ra­tions (2008), aux édi­tions des Xérographes

 Textes en revues : « Etranger comme soi-même » (Revue : Le sujet dans la cité n°2)
https://www.cairn.info/load_pdf.php?download=1&ID_ARTICLE=LSDLC_002_0207
 
« Faire le deuil – Revivre » (Revue : Le sujet dans la cité n°4)
 http://www.lesujetdanslacite.com/1/upload/sommairerevue04.pdf

« Ou de l’acte de lec­ture comme lieu de pro­jec­tion, assumée, de son pro­pre imaginaire »
http://remue.net/spip.php?article6977

 « Lim­ites du corps couché », Revue Chaoid, n°4
http://www.chaoid.com/pdf/chaoid_4.pdf

« Effet de réel », Revue Inventaire/invention
http://www.netiguide.fr/art-et-culture/litterature-et-poesie/inventaire-invention-s28.html

 

 

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