Entre les lignes entre les mots
Un blog orchestré par Didier Epsztajn Entre les lignes entre les mots, sous titré "Notes de lecture, débats et quelques notes de musique" annoncé par un mail qui invite le lecteur à se rendre sur des pages claires et agréables qui proposent pléthore d’articles.
Entre les lignes entre les mots met en exergue bien des questions qui sont généralement passées sous silence, attire notre attention sur des points précis de l'actualité, ou sur des phénomènes sociaux, et propose de nombreux articles servis par des intervenants qui analysent les problématiques concernant les domaines dont il est question. Divers angles de vue, car les rédacteurs appartiennent à de nombreux domaines d'activité, font de cette revue une somme riche et salvatrice, car elle préserve un regard critique qui ne manque pas de soulever des interrogations.
Entre les lignes entre les mots,
n°10, mars 2020.
On peut parmi ces sujets trouver des chroniques sur des livres quel que soit leur genre, aussi bien que sur des expositions ou des manifestations artistiques dont les thématiques n’hésitent pas à prendre un point d’ancrage dans des éléments sociaux, à évoquer des événements, internationaux ou bien qui concernent le quotidien des lecteurs qui vivent en France métropolitaine.
Pour ce numéro 10, de mars, quatre nouveaux articles nous sont proposés, dont une note à propos d'un livre de D'Oya Baydar, Dialogues sous les remparts, que Didier Epsztajn nous présente :
Ce texte relate la rencontre et la dispute entre une Turque de l’Ouest et une Kurde de Diyarbakur. Il en découle un examen de conscience, un règlement de comptes intérieur de la part de cette intellectuelle stambouliote, lucide sur l’inévitable tragédie en train de se nouer : la tragédie des divisions et des conflits ethniques qui se poursuivent aux quatre coins du monde.
C'est cette littérature qui prend sa matière dans une réalité particulièrement horrible, inhumaine, qui est souvent mise en avant par l'auteur de ce blog.
Les entrées sont révélatrices de cet engagement politique et social, ligne directrice de Didier Epsztajn : "Réalités imaginaires", "Toutes les femmes sont discriminées sauf la mienne", "Coup de cœur", "Ce qui paraît le plus noir, c'est ce qui est éclairé par l'espoir le plus vif"... Sous les nouveautés, sur la page d'accueil, nous trouvons un florilège des articles les plus consultés.
Incontournable parce que rare, tant il est vrai qu’il est primordial de se faire l’écho des dérives et des problèmes rencontrés par nombre de nos semblables dont il faut relayer la parole… Je me souviens de cette devise qui m'a fait choisir Villiers de l'Isle Adam comme sujet d'étude, "Faire penser"... Je me dis qu'il serait certainement un lecteur assidu d'Entre les lignes entre les mots.