Ce que découvrent,
dans l’eucalyptus,
les reflets de la lune,
chante dans les vieux cœurs,
et la chaleur du sable.
Plus jamais,
pluie et vent seront
aux hommes-oiseaux,
les pages tournées
des anciens mondes.
La main qui incendia la forêt,
n’est plus visible de la nuit.
Dans l’arbre tourbillonnent
les passages lumineux.
Une seule fois s’en éloigner
serait perdre la vie.