Les murs ne bougent pas
Les portes restent closes
Une cime se courbe
Sur le bois et la plaie
Tu souffles sur la braise
Et fais tout apparaître
La Venue (Arfuyen, 2006)
Les murs ne bougent pas
Les portes restent closes
Une cime se courbe
Sur le bois et la plaie
Tu souffles sur la braise
Et fais tout apparaître
La Venue (Arfuyen, 2006)