La fleur le ciel
Mer admirable
La chair et l’âme y disparaissent
Il faut se rendre
Gagner le souffle
Qui épouse l’or la lumière
Brûler en lui
Tout ce qui marche
Muré de pierres dans sa nuit
Cette forêt
Pâle et sans arbres
Qui hante chaque solitude
Brûler le chant
Au puits de flammes
Ce livre d’ombre à mots perdus
Voix secrète (L’Arrière-Pays, 1995)