Hannah Sullivan, Etait-ce pour cela, Joël Vernet, Copeaux du dehors

Par |2025-03-27T17:30:40+01:00 27 mars 2025|Catégories : Critiques, Hannah Sullivan, Joël Vernet|

Han­nah Sul­li­van pié­tonne de l’existence

Depuis qu’elle a trou­vé pour elle le sens de la poésie Han­nah Sul­li­van écrit pour attrap­er l’absence, mais l’absence glisse entre mes doigts. Face au réel elle cherche   une lumière qui ne veut pas d’ombre, mais  celle-ci reste source  d’ un bat­te­ment d’ailes dans la cage d’un cœur aus­si blessé d’une femme. D’où la fièvre de cette poéte anglaise para­doxale et déjà couron­née pour son pre­mier livre (Three poems) par le T.S. Eliot Prize en 2021.

Que­ques années avant  Han­nah Sul­li­van se trou­vait à bord d’un bus qui la con­dui­sait de Lon­dres à Oxford. Le tra­jet l’a fait pass­er devant la car­casse cal­cinée de la tour Gren­fell incendiée  — un immeu­ble de loge­ments soci­aux du quarti­er  de Kens­ing­ton —  Elle se sou­vient du soleil mati­nal, dont les rayons transperçaient le squelette de béton “dans un subit flam­boiement” juste avant c’était avant que ses murs furent « pudique­ment » cachés par des bâch­es blanches).

L’auteure a ressen­ti “l’horreur de cette car­casse physique, et de ce qui se trou­vait tou­jours à l’intérieur”. Elle a écrit quelques lignes que l’on retrou­ve aujourd’hui “Était-ce pour cela”, recueil de poésie est sur le sens de l’ex­is­tence et la place de l’homme. A tra­vers une explo­ration des dif­férents lieux qui ont mar­qué sa vie, l’écrivaine explore son passé et inter­roge son présent.

Par­fois le  vent dévore les coupoles et les dômes de Lon­dres, les rues se courbent sous l’assaut du néant, la Tamise, mon­stre rep­tilien, lèche les quais et des âmes liq­uides se dis­sol­vent dans ses reflets grisâtres.

Han­nah Sul­li­van sur­git des avers­es, par­fois ses paumes jointes en prière de lumière, face à l’éclat frag­ile d’un regard fauve de la pluie qui noies les âmes, les vis­ages, les noms. Retenant dans ce livre des sortes d’exils où les êtres marchent, les yeux grands ouverts pour con­tem­pler l’éclat de petites vic­toires et de défaites par­fois plus large. Mais une telle poésie d’existence est exceptionnelle.

Han­nah Sul­li­van, Etait-ce pour cela, bilingue, trad. Patrick Her­sant, La Tablle Ronde, ¨Paris, 2025,  248 page, 21,50 €.

D’autant qu’Hannah Sul­li­van  nous « oblige » à faire lorsque la fin du monde arrive au sein d’une accu­mu­la­tion minu­tieuse   : manger des pavés de saumon rôtis, des Smar­ties, des fruits rouges, des vit­a­mines à coen­zymes, des pêch­es à peine mûres. Mais pour  com­pléter les nour­ri­t­ures ter­restres elle engage lec­tri­ces et lecteurs vis­iter les œuvres de Homère, Yeats, Eliot, Freud, Vir­ginia Woolf bien sûr. Ce qui pour elle juge vague­ment les règles de la mode. 

Se suc­cè­dent ain­si duf­fel-coat bleu, robe de cock­tail dos nu ou pan­talon de grossesse.  Mais restant chez soi tout est pos­si­ble : regarder YouTube, La Pat’ Patrouille, les infos, les chiffres, de vieilles pho­tos pour regarder les uns et les autres, penser emprunter de l’ar­gent, porter le deuil. Tomber amoureux de la char­mante bouche d’un homme. Enfin, elle tra­verse aus­si les ter­rass­es et dis­tricts du Lon­dres des années 80, les larges rues de Boston où les blocs de glace ressem­blent à des Bran­cusi. Dans chaque lie où rien n’est trop insignifi­ant ou dis­gra­cieux pour retenir son attention.

La créa­trice lèche par­fois des ruines sans se sou­venir de ce qui fut, un fris­son d’invisible con­tre sa peau. De fait, elle n’oublie jamais rien  tout à fait. Elle se  laisse gliss­er en un pli de brume qui s’efface d’un bais­er de sel et elle devient limon même s’il existe une faille, juste là, au bord des lèvres entre le cri et le silence.

Dans un tel livre, les mots arrivent comme des chevaux sans rênes, hési­tent, trébuchent, se fra­cassent con­tre l’indicible, mais ils sont par­faite­ment écrits, cher­chant à creuser dans l’ombre une empreinte qui refuse de tenir. S’y saisit une  flamme,  un ver­tige sus­pendu dans l’air, une brûlure qui refuse de laiss­er des cendres. 

Han­nah Sul­li­van écrit, écrit encore dans une fièvre qu’aucun châs­sis ne saurait tenir et une ébauche qu’elle  ne ter­mine jamais pleine d’une absence qui le brûle. Bref elle  tend sa main avalée par la grav­ité du monde. Il y a dans chaque texte un choc :  l’auteure est là et voit partout jusque dans les flaques qui bouil­lon­nent sous la pluie, dans le hurlement muet des fenêtres ouvertes à l’abîme. Son ombre marche der­rière elle, jamais entière, frac­turée, éclatée

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Joël Ver­net : émerveillements

Quoique fidèle à un de ses titre : L’oubli est une tâche dans le ciel, Ver­net rassem­ble tou­jours les signes du monde qu’il fait sien même si de l’image de la vie il fait de sa poésie  un  inter­minable jour­nal inachevé, inachevable ».

Le réel seul y est sug­ges­tif et sem­blable  aux images qu’en de nom­breux voy­ages sur les ter­res d’Afrique le poète a saisies mou­vantes, fuyantes et presque innom­ma­bles. Con­tre la vie immo­bile cha­cun de ses textes se veut la syn­thèse pro­vi­soire de ce que voient les yeux là où le sable rejoint les pier­res et où un fleuve des­sine ses méan­dres. Il est donc tou­jours néces­saire de s’attarder pour retarder les adieux.

Errant pas excel­lence, Ver­net fait un art de  sa con­tem­pla­tion infati­ga­ble. D’autant que chez lui agit comme un rabot. Ses textes, frag­ments d’esprit,  devi­en­nent des copeaux enlevés du Dehors pour nour­rir sa mai­son de l’être. Tour se passe ici comme s’il n’a plus de paroles à profér­er : »Je peux et sais enfin me taire. Je puise l’encre dans le dernier silence. Désor­mais, le Dehors est un soleil écrivant tous les livres à ma place. »

Celui-ci est le dernier, et comme sou­vent il est le fruit et la con­séquence de ses voy­ages. Après la Syrie et l’Afrique ses copeaux  se sont accu­mulés ici au fil de trois années de flâner­ie dans les paysages hiver­naux des Balkans.

Comme tou­jours l’écriture retient ce que ses yeux voient. Des phras­es de lumière  sont tirées de l’ombre de l’existence et des clameurs du monde. Et ce  livre empêche de croupir. La poésie doit retenir les couch­ers de soleil, les éclats d’âme et elle fait des autres des  com­pagnons de voy­age. Et par exem­ple « Quelques larmes sur les joues d’une vieille femme, la lumière argen­tée qui tinte dans les arbres à cette sec­onde où un éclat m’apporte tout. ». Il s’agit de partager avec elle la plus haute fer­veur et l’insupportable ennui, le pain, les jours, bref un ordinaire. 

Joël Ver­net, Copeaux du dehors, llus­tra­tions de Vin­cent Bebert, Fata LMor­gana, Font­froide le Haut, 144 p., 25 €.

Ce livre  est donc une nou­velles suites de retrou­vailles, et le celui des regards. S’y repèrent les envie de ciels limpi­des, de tem­ples, de bor­dels, de nuits à la belle étoile, de quelques amours furtives aux cham­bres défaites. La poésie de Ver­net y inter­roge en per­ma­nence le réel, bal­aie les illu­sions, méta­mor­phose ce que l’œil sait retenir et, éduqué, celui-cu donne à la beauté un  vis­age : bur­iné de brèch­es et de veines lour­des à mesure que le temps passe.

Présentation de l’auteur

Hannah Sullivan

Née en 1979, Han­nah Sul­li­van est une uni­ver­si­taire et poète bri­tan­nique. Sa thèse sur le mod­ernisme en lit­téra­ture, The Work of Revi­sion (2013), a été couron­née du Rose Mary Craw­shay Prize et du Uni­ver­si­ty Eng­lish Book Prize. Elle est pro­fesseure asso­ciée de lit­téra­ture bri­tan­nique à l’université d’Oxford.

Trois poèmes a été récom­pen­sé du T. S. Eliot Prize.

© Crédits pho­tos Tere­sa Walton

Bibliographie 

Trois poèmes, 2018.

Etait-ce pour cela, 2024.

Poèmes choi­sis

Autres lec­tures

Présentation de l’auteur

Joël Vernet

Joël Ver­net est un écrivain et poète français.

Dès les années 1970, il entre­prend plusieurs voy­ages à tra­vers le monde. Il ren­con­tre l’écrivain malien Amadou Ham­pâté Bâ à Abid­jan, qui l’invite — sans suc­cès — à se con­ver­tir à l’islam. Il vit alors à Tre­ichville, quarti­er pop­u­laire d’Abidjan. C’est l’époque de ses pre­mières ten­ta­tives d’écriture. Dans les années 80, il voy­age en Égypte et au Soudan et com­mence à pro­duire des émis­sions pour France-Cul­­ture. Dès 1988, il com­mence à pub­li­er ses pre­miers livres grâce à Michel Camus et Claire Tié­vant chez Let­tres Vives, Bruno Roy, directeur des Édi­tions Fata mor­gana. A l’automne 1997, il séjourne trois mois à Mon­tréal, à l’invitation de l’Agence Rhône-Alpes du livre et de l’Union des écrivains québé­cois. Il vit pen­dant deux ans à Alep à par­tir de l’automne 1999, décou­vrant l’Est de la Turquie et le désert syrien. 

En 2001, il obtient la bourse d’année sab­ba­tique du Cen­tre Nation­al du Livre pour l’ensemble de son œuvre. Il retourne au Québec en 2003 à l’invitation de la Mai­son de la Poésie de cette ville. En avril 2004, il est invité par le ser­vice cul­turel de l’Ambassade de France au Bahreïn pour une série de lec­tures et con­férences et en 2005, il pub­lie avec des pho­togra­phies de Michel Cast­er­mans, “La Mon­tagne dans le dos, Impres­sions du pays dogon”, livre qui traduit des années de voy­ages dans cette par­tie du monde. 

En octo­bre 2007, il réalise un livre à huit mains avec le pein­tre Jean-Gilles Badaire, les pho­tographes Bernard Plos­su et Daniel Zolin­sky. Une expo­si­tion a lieu au même moment à La Fab­rique du pont d’Aleyrac (Ardèche) ; le livre “Chemins, détours et fougères, un tour du monde en Ardèche”, témoigne d’une véri­ta­ble aven­ture de création. 

Bibliographie 

  • J’ai épuisé la ville, Édi­tions Bran­des, 1985
  • Let­tre de Gao, Let­tres Vives, 1988
  • Lâch­er prise, Noël Blandin, 1992
  • Let­tre d’Afrique à une jeune fille morte, Noël Blandin, 1992
  • Let­tre à l’abandon dans un jardin, Fata mor­gana, 1994
  • Totems de sable, Fata mor­gana, 1995
  • La main de per­son­ne, Fata mor­gana, 1997
  • La vie nue, Let­tres Vives, 1997
  • Petit traité de la marche en sai­son des pluies, Fata Mor­gana, 1999 ; et rééd.
  • Les jours sont une ombre sur la terre, Let­tres Vives, 1999
  • Let­tre pour un très lent détour, Voy­ages au Mali (Pho­togra­phies Bernard Plos­su), Édi­tions Fil­igranes, 1999
  • Le silence n’est jamais un désert, Let­tres Vives, 2000
  • Sous un toit errant, Fata mor­gana, 2000
  • Au bord du monde — Entre Haute-Loire et Lozère, édi­tions du Laquet, puis Édi­tions Ter­tium, 2001
  • La journée vide, Let­tres Vives, 2001
  • Let­tre d’Afrique à une jeune fille morte, Fata morgana/Cadex, 2002
  • La nuit errante, Let­tres Vives, 2003
  • Lâch­er prise, Escam­pette, 2004
  • La lumière effon­drée, Let­tres Vives, 2004
  • François Augiéras, l’aven­turi­er rad­i­cal, 2004
  • Vis­age de l’ab­sent, Escam­pette, 2005
  • La mon­tagne dans le dos, Impres­sions du pays dogon (Pho­togra­phies Michel Cast­er­mans), Éd. Le Temps qu’il fait, 2005
  • L’a­ban­don lumineux, Let­tres Vives, 2006
  • Chemins, fougères et détours. Un tour du monde en Ardèche, La Part des Anges, 2007
  • L’homme de la sci­erie sous la pluie, Cir­ca 1924, 2007
  • Une bar­que passe près de ton seuil, La Part Com­mune, 2008
  • Le désert où la route prend fin, Escam­pette, 2008
  • Marcher est ma plus belle façon de vivre, La Part des Anges, 2008 ; rééd. L’Escam­pette, 2014
  • Celle qui n’a pas les mots, Let­tres Vives, 2009
  • Le regard du cœur ouvert, Des car­nets (1978–2002), La Part com­mune, 2009
  • Le Séjour invis­i­ble, Escam­pette, 2009
  • L’er­mite et le vagabond, Escam­pette, 2010 — ouvrage autour de François Augiéras
  • Pourquoi dors-tu, Jonas, par­mi les jours vio­lents, La Part com­mune, 2011
  • Vers la steppe, Let­tres Vives, 2011
  • Jour­nal fugi­tif au Moyen-Ori­ent, Vers Alep, Pho­togra­phies de Françoise Nuñez et Bernard Plos­su, Le Temps qu’il fait, 2012
  • Rumeur du silence, Fata mor­gana, 2012
  • L’in­stant est un si bref éclat, Cir­ca 1924, 2013
  • Si un cobra vous regarde dans les yeux, Con­te malien et autres dia­b­leries, Ter­tium Édi­tions, 2013
  • Les Petites Heures, Let­tres Vives, 2014
  • Cœur sauvage, let­tre à Mari­na Tsve­tae­va, L’Escam­pette, 2015
  • Nous ne voulons pas atten­dre la mort dans nos maisons, mini zoé, Éd. Zoé, 2015
  • L’Adieu est un signe, Fata mor­gana, 2015
  • La vie trem­blante, hom­mage à Chris­t­ian Dotremont, Le Paresseux édi­teur, 2015
  • Let­tre ouverte à un marcheur déraisonnable, Le Réal­gar, 2016
  • La vie buis­son­nière, Fata mor­gana, 2017
  • Nous par­tons tous, Epopée pour le théâtre, La Rumeur libre, 2018
  • Ter­res nues, Pho­togra­phies de Jean Her­voche, Edi­tions de juil­let, 2018
  • Le silence du soleil, (Pein­tures de Jean-Gilles Badaire), Le Réal­gar, 2018
  • Car­nets du lent chemin. Copeaux (1978–2016), La Rumeur libre, 2019
  • L’ou­bli est une tache dans le ciel, Fata mor­gana, 2020
    Prix Here­dia 2021 de l’A­cadémie française.
  • Mon père se promène dans les yeux de ma mère, La Rumeur libre, 2020
  • La nuit n’éteint jamais nos songes, Let­tres Vives, 2021
  • Marcher est ma plus belle façon de vivre, Édi­tions la rumeur libre, 2021
  • Vivre, cette splen­deur sauvage, Entre­tiens, La rumeur libre, 2023
  • Œuvres poétiques1, Voir est vivre, (Poèmes et petites pros­es, 1985–2021) La rumeur libre, 2023
  • Regard per­du, Pour dire une pho­togra­phie de Mari­Blanche Han­nequin, Les petites allées, 2023
  • Jour­nal d’un con­tem­pla­teur, dessins de Vin­cent Bebert, Edi­tions Fata mor­gana, 2023
  • Copeaux du dehors, dessins de Vin­cent Bebert, Edi­tions Fata mor­gana, 2025

Préfaces/postfaces, ouvrages col­lec­tifs

  • Pays du Sahel (dir. Joël Ver­net), Éd. Autrement, 1994
  • Le pays d’en haut pho­togra­phies de Jean-Luc Meysson­nier, Édi­tions du Chas­sel, 2011 (Texte)
  • Dic­tio­n­naire imper­ti­nent du pays de Saugues en Gévau­dan, Bernard Lon­jon, Édi­tions du Roure, 2015 (Pré­face)
  • Un print­emps sans vie brûle, avec Pier Pao­lo Pasoli­ni, Édi­tions La Passe du vent, 2015 (Texte)
  • J’ai cessé de me désir­er ailleurs, pour saluer André Bre­ton, Édi­tions La Passe du vent, 2016 (Texte)
  • La Haute-Loire, de toute façon, Édi­tions à Hau­teur d’Homme, 2017 (Pré­face)
  • Les couleurs du silence, Lau­rent Haond, Edi­tions du Chas­sel, 2019 (Pré­face)

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Jean-Paul Gavard-Perret

Jean-Paul Gavard-Per­ret est un poète, cri­tique et maître de con­férences en com­mu­ni­ca­tion à l´Université de Savoie. Doc­teur en lit­téra­ture, J.P. Gavard-Per­ret enseigne la com­mu­ni­ca­tion à l’Université de Savoie à Cham­béry. Il est mem­bre du Cen­tre de Recherche Imag­i­naire et Créa­tion. Il est spé­cial­iste de l’Image au XXe siè­cle et de l’œuvre de Samuel Beck­ett. Il col­la­bore à de nom­breuses revues dont Pas­sage d’encres, Les Temps Mod­ernes, Esprit, Ver­so Art et Let­tres, Champs visu­als et Com­mu­ni­ca­tion et Lan­gage. Il a pub­lié une quin­zaine de livres, de textes brefs ou d’essais. Pub­li­ca­tions Fic­tions et textes brefs Toile Peinte, Argo, Lau­sanne, 1976, (Sous le pseu­do­nyme d’An­nie Renaud). Dans ses gestes, l’At­tente, L’In­cer­tain, Paris, 1991. La Par­ti­tion, Garenne, Lyon, 1991. La Répéti­tion, La Demeure, Cour­taud, La Souter­raine, 1992. Ici en l’ob­scur, Ecbo­lade, Nœux, 1993. Comme un voy­age, Édi­tion Philippe Morice, 1° édi­tion 1993, 2e édi­tion revue, 1994. Le jour où j’ai tué Papa, Exquis-Cadavres, Vir­gin-Cal­man-Lévy. Paris, 1995. L’Œil du Cyc­lope, en col­lab­o­ra­tion avec le graveur Marc Pessin, La Main Courante, La Souter­raine, 1995. Le jardin des délices, Le flâneur des deux rives, Juvinas, 1996. Art, Légende, Réal­ité, Bar­ré-Dayez, Paris, 1996. Douce, tech­nique­ment. en col­lab­o­ra­tion avec le pein­tre Mar­cel War­men­hoven, Ecbo­lade, Nœux, 1996. Le froid, Édi­tions La Dérive, Verviers, 1996. Néces­saire sac­ri­fice aux étoiles, Édi­tions le Givre de l’É­clair, Troyes, 1998. Généalo­gie véni­ti­enne, Rafael de Sur­tis, Chèvres, 1998. L’Araignée de feu, Édi­tions du Non Ver­bal, Bor­deaux, 1998. Draw­ing by embers, La Main Courante, La Souter­raine, 1998. Trois faces du nom, L’Har­mat­tan, Paris, 1999. Venise, Édi­tions de L’Heure, Pry, Bel­gique, 1999. Le cycle des van­ités, Édi­tions Pier­ron, Sar­reguem­ines, 1999. Pas­sager de sa pluie, Édi­tions de l’Heure, Pry-lez-Wal­court (Bel­gique), 2000. Demain, hier, Édi­tions on @ faim, Saint Éti­enne de Rou­vray, 2001. Cielle, Édi­tions Cla­pas, Agues­sac, 2001. La mai­son de l’être, Édi­tions Cla­pas, Agues­sac, 2001. Soul-Eyes, Édi­tions à Demeure, Vals, 2001. La descente ; absence et crue, Édi­tions à Demeure, Vals, 2001. Une manière noire — frag­ments sur Jeanne, in «Cui­sine et cuisines», Édi­tions La Dérive, Verviers, 2001. Pre­mier Prix Georges Simenon 2001 K, Véronique Van Mol édi­teur; Orgeo (Bel­gique), 2001. Soir (de Paris), Ate­lier-Édi­tions Vin­cent Rougi­er, Port de Couze, 2002 Chants de déclin et de l’abandon, Édi­tions Pier­ron, Sar­reguem­ines, 2003. Neige suivi de l’immobile, coll. Ficelle, Ate­lier Vicent Rougi­er, Port de Couze Lalinde, 2005. L’im­age est une chi­enne, l’Ane qui Butine, Bel­gique, 2005. Fil rouge, édi­tions Regard; Petite revue d’Art, Le Grand Aberge­ment, 2005. Porc épique, édi­tions du Petit Véhicule, Nantes, 2006. A perte de vue : Man­hat­tan Trans­fert, coll. Pam­phlet, Édi­tions L’Âne qui butine, Mouscron (Bel­gique), 2007. Mon ex a épousé un Schtroumpf (sous pseu­do­nyme de Garr Gam­mel), Édi­tions Chloé des Lys, Bar­ry (Bel­gique) 2008. E muet, édi­tions du Tri­dent Neuf, pho­togra­phie de Marie Bau­thias, Toulouse, 2008 La jeune femme qui descend l’escalier, Édi­tions du Cygne, Paris, 2008. La mar­iée était en rouge, Édi­tions du Cygne, Paris, 2008. L’ap­pel de la forêt, avec des pein­tures de Jacques Bar­ry, Édi­tions Jean Ville­vieille, Saint Éti­enne, 2010. Je veux, La dic­tée-poésie sans faute, 60e “ficelle”, Ate­lier d’art Vicent Rougi­er, jan­vi­er 2011. Dis­sem­blance et fig­u­ra­tion, avec une inter­ven­tion plas­tique de Mari­ette, Édi­tions Le verbe et l’empreinte, Saint Lau­rent du Pont, 2011. Por­traits Sin­guliers avec et pour les pein­tures de Clau­dine Loquen, Édi­tions Leliv­redart, Paris 2011. Cyc­lope, Édi­tions de L’At­lan­tique, Saintes, 2011. Eugène Leroy ou les appari­tions, Alma­gra Édi­tions, Nantes, 2011. Labyrinthes, édi­tions Marie Delar­bre, Grig­nan, juil­let 2012. 25 courts textes dans le recueil de pho­togra­phie de Nath-Saku­ra Fatales, Édi­tions Vic­to­ria (ISBN 978–2‑9542917–0‑3) Autres recueils de textes brefs : Anoth­er – Hor­moz pho­togra­phies, Cor­ri­dor Ele­phant Edi­tions, Paris, 2016. “Le Faubourg” avec encres de Danielle Berthet, Voix Edi­tions, Richard Meier, 2019. Flu­id­i­fi­ca­tion des éc®oulements, Edi­tions Furtives, Besançon, 2019. Fornika­tord, Edi­tions Furtives, Besançon, 2019. La let­tre d’amour qui ne s’écrit pas, Edi­tions Furtives, Besançon, 2019. Le bal des mots dits, Edi­tions Furtives, Besançon, 2019. Le box­on de X, Z4 Edi­tions, 2019. Uni­vercités, Edi­tions Jacques Fla­ment,  2020. Patience dans la boîte noire — Jean- François Dalle-Rive, avec M‑P Deloche, Folazil, Greno­ble, 2020. Joguet, Joguette, Z4 Edi­tions, 2020. Phare d’eau, édi­tions Con­stel­la­tions, octo­bre 2022 Tou­s­sa pour ça & Fir­ma­man, édi­tions Con­stel­la­tions, décem­bre 2022 Pro Loques, édi­tions Con­stel­la­tions, févri­er 2023 Région humaine suivi de Zébu­lon Comète et sa maîtresse, édi­tions Con­stel­la­tions, mai 2023 Poésie Corps de Pierre, Le Pont de l’Épée, Paris, 1976. Elle, Écrite, Hautécri­t­ure, Nouail­lé, 1990. La main le Désert, Vague Verte., Wag­narue, 1991. Le délit d’Ab­solu, L’Ar­bre à Paroles, Amay-Brux­elles, 1991. L’ef­face­ment, L’Ar­bre à Paroles, Amay-Brux­elles, 1992. Suite intem­pes­tive, en col­lab­o­ra­tion avec René Quinon, Le Flâneur des deux rives, 1996. Ibériques, Interédi­tions, Paris, 1996. (Grand Prix de poésie du Val de Seine). Avalée, Avalanche, Le Chant de l’Aleph, Paris, 1997. Fer­me­ture en fon­du sur la lumière du soir, “Con­duite for­cée”, (Édi­tions à tirage lim­ité, Eric Coisel Édi­teur, Paris, 1998. Arach­néenne, Édi­tions de L’Agly, Saint Paul de Fenouil­let, 1998. Pêcheur d’Is­lande, (Grand Prix de poésie de la Ville de Dunkerque) Verbes suivi de Anglais­es, Édi­tions Cla­pas, Agues­sac, 1998. Bon­jour Mon­sieur le Fac­teur, sur des col­lages de Éric Coisel; Éric Coisel Édi­teur, Paris, 1999. Vis­ages, en col­lab­o­ra­tion avec la plas­ti­ci­enne Charlette Morel-Sauphar, Édi­tions Pas­sage d’Encres, Romainville, 1999. Noire sœur, écrit et illus­tré en hom­mage à S. Beck­ett, Vin­cent Cour­tois éd., 1999. Clé de l’abyme, Le scarabée d’or, en col­lab­o­ra­tion avec le plas­ti­ci­enne Charlette Morel-Sauphar, Pas­sage d’encres, Romainville, 2000 Inci­sions de lumière, en col­lab­o­ra­tion avec la plas­ti­ci­enne Charlette Morel-Sauphar, Pas­sage d’encres, Romainville, 2000. Prim­i­tives du futur, Édi­tions de La Porte, Laon, 2000. Final Cut & Sur­vivance, en col­lab­o­ra­tion avec la plas­ti­ci­enne Ch. Morel-Sauphar, Gech Mosa édi­tions d’art, Mâcon, 2001. L’Injonction, en col­lab­o­ra­tion avec Annie Frédéric, coll. Tête-à-tête, Édi­tions Alain Benoît, Rocheford du Gard, 2001. Les car­rés de Charlette, coll. Encres Blanch­es, Édi­tions Encres Vives, Colomiers, 2001. Rouge Sang, Charlette Morel-Sauphar ed., Bus­sières-Macon, 2002. Dons de Mélan­col­ie – A l’épreuve du temps, avec des pho­togra­phies de Geor­gette Glodek, Édi­tions Dumerchez, Creil, 2003. Déchirures, avec des pein­tures de Bernard Ques­ni­aux, Éric Coisel édi­teur, coll. “ Mémoires ”, Paris, 2004. Ether­nitée, avec des dessins de Mylène Besson, coll. “à la Main”, édi­tion l’Attentive, Paris, 2004. Ara­ba, Édi­tions du Con­tentieux, Toulouse, 2004. Don­ner ain­si l’espace, Édi­tions La Sétérée, Crest, 2005. Les blés d’or, Aquarelles de Nicole Pessin, coll. Le fil à retor­dre, Ate­lier Marc Pessin, Saint Lau­rent du Pont, 2006. Voy­ages immo­biles, avec des pein­tures de Chan­tal Brischoff et des pho­togra­phies de René Auger, RC Créa­tion, Tho­ris­sey. Les paroles de neige, Aquarelles de Nicole Pessin, coll. Le fil à retor­dre, Ate­lier Marc Pessin, Saint Lau­rent du Pont, 2007. Gisante, Eden et après, avec des illus­tra­tions de Mylène Besson, Édi­tions Chloé des Lys, Bar­ry (Bel­gique), 2007 Le voy­age, avec une inter­ven­tion orig­i­nale de Alain Quer­cia, Jean Pierre Huguet Édi­teur, Saint Julien Molin Molette, 2007. Ver­ti­cal Duo, avec Marie Bau­thias, Édi­tions du Tri­dent Neuf, Toulouse, 2008. Sil­lage de Lumière, avec des dessins de Nicole Pessin, Le Fil à retor­dre, Saint Lau­rent du Pont, 2009. Faire par­ler le jour, avec des dessins de Nicole Pessin, Le Fil à retor­dre, Saint Lau­rent du Pont, 2009. Odyssée, Ray­mond Chabert entrée en matière, avec des pein­tures de Ray­mond Chabert, pho­togra­phies de René Auger, RC Créa­tion, Tho­ris­sey, 2009. Sta­tions chris­tiques, avec des encres de Nicole Pessin, Le Fil à retor­dre, Saint Lau­rent du Pont, 2009. & — livret 19, avec les pho­tos d’E­Ole, EOle édi­tions, La Batie Mont­gas­con, 2009. Miss Fitts et autres His­toires Ceintes, avec des dessins de Jean-Marc Scan­reigh, Édi­tions Ate­lier Vin­cent Rougi­er, Soligny la Trappe, 2010. L’al­pha­bet des prim­i­tifs du retour, avec des aquarelles de Nicole Pessin, Le Fil à retor­dre, Saint Lau­rent du Pont, 2010. Les boîtes à A, coll Match­boox, Édi­tions Voix, Elne, 2010. Le Dic­tio­n­naire des Âmes, avec des aquarelles de Nicole Pessin, Le Fil à retor­dre, Saint Lau­rent du Pont, 2010. Musikâa, édi­tions Marie Delar­bre, Malis­sard, 2010. Les enfants de la mer, avec des Aquarelles de Nicole Pessin, Le Fil à retor­dre, Saint Lau­rent du Pont, 2011. Noël en alpha­bet, avec des Aquarelles de Nicole Pessin, Le Fil à retor­dre, Saint Lau­rent du Pont, 2012. Les Seins d’Abeille , Edi­tions Jean-Pierre Huguet, St Julien Molin Molette, 2014. “Autre huche” Coll. Apos­tille Danielle Berthet, Aix Les Bains 2016 “Chéri( e)s ou le sexe se met en dernier”, coll. Apos­tilles, Danielle Berthet, Aix Les Bains, 2017. Cham­béry en alpha­bet dessins de Nicole Pessin, Edi­tion Varia Poet­i­ca, Saint Lau­rent duPont,2017 “Clavecin des brumes” avec des pein­tures orig­i­nales de Andelu, Edi­tions du Geste, 2016. Tu me vois — Sylvie Afla­lo-Haber­berg”, Paris, Sylvie Afla­lo-Haber­berg, 2019. “Cui cuit” Coll. Apos­tilles Danielle Berthet, Aix Les Bains, 2018 “Lionne va”, avec encres Danielle Berthet Le Livre Pau­vre, Daniel Leuw­ers, 2019. “Anna-Base”, Edi­tions Furtives, Besançon, 2019. “Pâle haie des spores”, coll. Apos­tilles, Danielle Berthet, Aix Les Bains, 2019. “Le retour sans l’aller”, Edi­tions Furtives, Besançon, 2019. Essais et Cat­a­logues La Pop-music, Édi­tion Bib­lio­thèque de Tra­vail, Paris.1978. Jean-Luc Favre ( Rey­mond) : la scène prim­i­tive et l’ob­sti­na­tion com­pul­sive, S.G.E. Genève. 1995. Jean Jacques Rousseau et retour — Cat­a­logue du sculp­teur Mar­cel War­men­hoven, Den Haag, 1996. 91 appari­tions de Marie-Madeleine, (sur les Pho­togra­phies de Véronique Sablery), Cen­tre d’Art Con­tem­po­rain, Hôtel Saint-Simon, Angoulême, 1996. Bur­roughs, le fil(s) per­du, de l’au­to­bi­ogra­phie à la scrip­togra­phie, Édi­tions Der­rière la salle de bains, Rouen, 1996. René Quinon : l’écri­t­ure & le silence, Édi­tions le flâneur des deux rives, Juvinas, 1997 Post­face à La dis­pari­tion Felli­ni de Jacques Kober, Rafael de Sur­tis Édi­teur, La Touche, 1998. Eugène Leroy ou les appari­tions, Patin et Coufin, Mar­seille, 1998 La didac­tique du français dans l’en­seigne­ment supérieur : Brico­lage ou réno­va­tion?, coll. Séman­tiques, L’Har­mat­tan, Paris, 1998. Josef Cies­la : les portes du silence ou le chant des signes, coll. les Sept Collines, Jean Pierre Huguet Édi­teur, St. Julien Molin Molette, 1999. Hypothèse du tableau comme clan­des­tinité — propo­si­tions pour Gérard Gasiorows­ki, Édi­tions Patin et Couf­fin, Mar­seille, 1999. Jacques Simonomis, en col­lab­o­ra­tion avec Jean Rous­selot, Édi­tions de La Lucarne Ovale, Paris, 1999. Eve­lyn Ger­baud, Édi­tions Pas­sage d’Encres, Romainville, 1999. Vis­ages — l’œuvre de Charlette Morel Sauphar, Édi­tions Pas­sage d’Encres, Romainville, 1999. Fil­igranes-Pas­sages, Cat­a­logue de la plas­ti­ci­enne Charlette Morel Sauphar, Macon, 2000. Les oubliés mag­nifiques, Édi­tions Librairie Bleue, Troyes, 2000. Samuel Beck­ett : l’Imaginaire para­dox­al ou la créa­tion absolue, Paris, Minard, 2001. Néces­saire défaut de la réal­ité ou la let­tre d’amour qui ne s’écrit pas, in «De tous les jours, pho­togra­phies de J‑Claude Bélé­gou», Édi­tions Pho­togra­phies & Co, Sausseuze­mare, 2001. Suites, séries, vari­a­tions. Cat­a­logue du pein­tre Joel Leick, in «Suites et Séries», Édi­tions L’Harmattan et Tour Car­rée, Paris, 2001. Beck­ett et la poésie : la dis­pari­tion des images, Édi­tions le Man­u­scrit, 2001. Draw­ing by Embers ou la poé­tique du silence & Du Par­adis in «Du Vide au Silence : La Poésie», Édi­tions Ver­mil­lon, Ottawa (Cana­da), 2002. Théo Cras­sas : Songs for Dis­tin­gué Lovers, Édi­tions Encres Vives, Colomi­er, 2002. Cat­a­logue de Véronique Sablery pour l’in­stal­la­tion “L’Ap­pari­tion”, Salle Royale, Église de la Madeleine, Paris (Avril, mai juin 2003). Thier­ry Tilli­er : Lieux et dérives du corps, Édi­tions de l’Heure, Charleroi, 2003. Un monde tou­jours nou­veau, CD-Rom des œuvres de Charlette Morel-Sauphar, réal­isé par Ch. Bau­dri­on, CRDP de Bour­gogne & CDDP de Saône et Loire, 2003, Dijon. Cat­a­logue de l’exposition Jean Gau­daire-Thor, Brid­gette May­er gallery, 209 Wal­nut street, Philadel­phie, USA. (sous pseu­do­nyme). Hom­mage à Blan­chot, col­lec­tion Signes, Édi­tions Aleph, Malis­sart, 2003. Mar­cel Rist, l’étreinte ou l’épreuve des traces, Édi­tions Anonyme, Auvers Saint Georges, 2004. Le chant des mots et la forêt des signes Pré­face de «Livres à l’envi — livres d’artistes et affich­es de J‑M Scan­reigh» de Jean Paul Laroche, Édi­tions Mémoire Active, 2004, Lyon. Cat­a­logue Michel Butor et les pein­tres, Musée Fau­re, Aix Les Bains, févri­er-mars 2005. François Bidault : le sur­face impos­si­ble ou le tableau qui pense in «Jeux de sur­face», coll. Écri­t­ure et Représen­ta­tion, LLS, Édi­tions Uni­ver­sité de Savoie, 2006. Marie Morel, Édi­tions anonyme, Cham­béry, 2006. Ankh : sculp­tures et gravures, Chapelle de la Vis­i­ta­tion, Thonon les Bains, 8 sep­tem­bre — 21 octo­bre. Franchir la fron­tière ou la poésie comme manuel de félix­ité et Théâtre de la poésie, poésie de la langue, in «Con­stan­tin Frosin, fran­cophile roumain» sous la direc­tion de Lau­rent Fels, coll. Essais/recherche, Édi­tions Poiêtês, Orthez, 2008. Cool Mem­o­ries”, cat­a­logue de l’Ex­po­si­tion de Véronique Sablery, «Ten­ta­tion du vis­i­ble», Abbaye Saint mar­tin de Mon­daye, juin-juil­let 2008. Une tra­ver­sée du siè­cle : arts, lit­téra­ture, philoso­phie : hom­mages à Jean Bur­gos, avec Bar­bara Meazzi et J‑Pol Madou, Presse de l’U­ni­ver­sité de Savoie, Cham­béry, 2008 Mar­tine Quès : Petits bassins d’eau salée, Pho­togra­phies, Ate­liers des Arts Mêlés, Gar­gas, 2008 Mar­tine Quès : Pho­togra­phi­er les rochers, Ate­liers des Arts Mêlés, Gar­gas, 2008 Il y a du frois­sé dans l’air, n° frois­sé, cat­a­logue pour l’ex­po­si­tion de Vin­cent Rougi­er à L’A­pos­tro­phe — Théâtre des Lou­vrais Pon­toise, Édi­tions Ate­lier Vivent Rougi­er, Soligny la Trappe, 2009. La céc­ité n’a pas gelé mon corps il l’é­tait avant, in «Au nom de la fragilité, des mots d’écrivains» sous la direc­tion de Charles Gar­dou, Édi­tions Erès, Paris. 2009. Jou­ve, la vision de la femme, in «Jou­ve poète européen», Cahiers P‑J Jou­ve, no 1, Édi­tions Cal­liopée, 2009. Loques et inter­loques : la vie dans les plis in «La sur­face : acci­dents et altéra­tions», coll. Écri­t­ure et Représen­ta­tion, LLS, Édi­tions Uni­ver­sité de Savoie, 2010. Mylène et Pierre in cat­a­logue «Pierre Leloup — Mylène Besson, Face à Face», Musée Fau­re, Aix les Bains. Pub­li­ca­tion de la société d’art et d’his­toire d’Aix les Bains, no 62, jan­vi­er 2011.. Voies de pas­sage et Petit dia­logue intem­pes­tif in cat­a­logue « Cour­to, frag­ments tatouant », Édi­tions Musées de la ville de Cham­béry, 2011. Miroir du déser­teur, lit­téra­ture, psy­ch­analyse, miroir de l’autre in «Polars En quête de… l’Autre», col­lec­tif sous la direc­tion de P‑L Savouret, coll. “Écri­t­ure et représen­ta­tion”, Édi­tions LLLS, Uni­ver­sité de Savoie, 2011. Eugène Leroy ou les Appari­tions, nou­velle ver­sion, 2011, Alma­gra Édi­tions, Nantes, 2011. Nicole Valentin et la chair-voy­ance, cat­a­logue de l’ex­po­si­tion “Autour du feu” de Nicole Valentin, espace Autour du feu, 24 rue Duran­tin, Paris 18e, juin 2011. Ouvrages “Si j’é­tais moi”, dans la revue d’art TROU no. XX, 2009 La Mar­iée était en rouge, Édi­tions du Cygne, Le Chant du cygne, 2009. La Jeune Femme qui descend l’escalier, Édi­tions du Cygne, Le Chant du cygne, 2008. À perte de vue : Man­hat­tan Trans­fert, L’Âne qui butine (Bel­gique), 2007. Les Impudiques : cratères lit­téraires, Édi­tions du Cygne, Le Chant du cygne, 2007. Le Voy­age, avec une inter­ven­tion orig­i­nale de Alain Quer­cia, Jean-Pierre Huguet édi­teur, 2007. L’Homme et l’e­space, Ate­lier Andelu, 2007. Porc épique, Édi­tions du Petit Véhicule, 2006. Les Blés d’or, aquarelles de Nicole Pessin, Marc Pessin, 2006. Don­ner ain­si l’e­space, La Sétérée, 2005. Thier­ry Tilli­er : lieux et dérives du corps, Édi­tions de l’Heure, 2003. Dons de Mélan­col­ie — à l’épreuve du temps, avec des pho­togra­phies de Geor­gette Glodek, Dumerchez, 2003. Chants de déclin et de l’a­ban­don, Édi­tions Pier­ron, 2003. Samuel Beck­ett : l’Imag­i­naire para­dox­al ou la créa­tion absolue, Minard, 2001. Le Silence de l’Ile, peint par Tony Souli­er, Éric Coisel, 2001. Beck­ett et la poésie : la dis­pari­tion des images, Édi­tions Le Man­u­scrit, 2001. Éve­lyn Ger­baud, Édi­tions Pas­sage d’En­cres, 1999. Trois Faces du nom, L’Har­mat­tan, 1999. Le Cycle des van­ités, Édi­tions Pier­ron, 1999. Josef Cies­la : les portes du silence ou le chant des signes, Jean-Pierre Huguet édi­teur, Les Sept Collines, 1999. Hypothèse du tableau comme clan­des­tinité — propo­si­tions pour Gérard Gasiorows­ki, Édi­tions Patin et Couf­fin, 1999. L’Araignée de feu, Édi­tions du Noroît (Cana­da), 1998. Généalo­gie véni­ti­enne, Rafael de Sur­tis, 1998. Eugène Leroy ou les appari­tions, Édi­tions Patin et Couf­fin, 1998. Draw­ing by embers, La Main courante, 1998. Arach­néenne, Édi­tions de L’Agly, 1998. Ibériques, Édit­in­ter, 1996. Bur­roughs : le fil(s) per­du, de l’au­to­bi­ogra­phie à la scrip­togra­phie, Édi­tions Der­rière la salle de bains, 1996. Le Jour où j’ai tué papa, Vir­gin-Cal­mann-Lévy, 1995. L’œil du cyc­lope (en col­lab­o­ra­tion avec Marc Pessin), La Main courante, 1995. Jean-Luc Favre : la scène prim­i­tive et l’ob­sti­na­tion com­pul­sive, SGE (Suisse), 1995. Ici en l’ob­scur, Ecbo­lade, 1993. L’Ef­face­ment, L’Ar­bre à paroles (Bel­gique), 1992. La Main, le désert, Vague verte, 1991. Elle, Écrite, Hautécri­t­ure, 1990. La Pop music, Édi­tions Bib­lio­thèque de Tra­vail, 1978. Corps de pierre, Le Pont de l’Épée, 1976.

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