Jacqueline Merville, Passage en Rhénanie, André Breton, Manifestes du surréalisme, Gilbert Bourson, Plancher du Ciel

Par |2024-10-21T08:18:48+02:00 21 octobre 2024|Catégories : André Breton, Critiques, Gilbert Bourson, Jacqueline Merville|

Jacque­line Merville : traversée

Jacque­line Merville écrit avec sa res­pi­ra­tion, rompue et libre, men­tale et proche des ressorts d’un incon­scient qui trou­ve en une suite de lieux une série de cor­re­spon­dances baude­lairi­ennes. Etriquée en par­tie cette res­pi­ra­tion per­met d’effacer et d’ouvrir ce qu’elle a vécu sous forme d’apprentissage par­fois for­cé par­fois act­if. Dans le con­texte de sa vie, ce « Pas­sage » comme son nom l’indique est une tra­ver­sée. Le tout dans une façon de percevoir où la sen­si­bil­ité et l’intellect sont indis­sol­uble­ment liés, qui ne peut se réduire à la seule com­préhen­sion et qui s’adresse autant à une per­son­ne qu’à l’ensemble des femmes auquel elle appartient.

Ce mode de per­cep­tion  tire sa force et sa faib­lesse au-delà des caté­gories util­i­taristes et des lieux (usines Henkel, Bay­er Lev­erkusen) qui ouvrent et décou­vrent ce qui rap­proche la pro­pre psy­ché de l’auteure à son vécu d’hier et d’aujourd’hui éten­due plus large­ment qu’à sa personne.
Exis­tent de nom­breux lieux, libres des codes comme des appa­rats économique. Êtres et objets demeurent étrangers, vio­leurs ou gra­bataires mais aus­si des invi­ta­tions à l’existence et au courage pour se réap­pa­raître même où rôde des souf­frances et douleurs d’ici et d’hier en de divers passés .
 
Ce pas­sage devient un con­sen­te­ment à soi-même. Nul égare­ment roman­tique bien au con­traire. La vérité est crue et redonne son dans une langue de sen­sa­tions. L’ange se réveille en oubliant les brûlures de cig­a­rettes des mon­stres. Et beau­coup de femmes aus­si se sou­vi­en­nent des salauds. Un tel livre per­met de retrou­ver à l’auteure  ce qui n’a pas cessé d’être : un papil­lon aux ailes déchi­quetées.  Mais l’écriture est une incon­nue apprivois­able qui étouffe le dés­espoir. Des pages s’éclairent jusque dans le silence des mères.
La pré­ci­sion du lan­gage touche par un don d’exactitude, un car­ac­tère aigu de l’expression. Se dessi­nent les con­tours nets, la ligne très pré­cise du des­tin. S’agit du lan­gage poé­tique ? – Oui, mais il n’a rien vague car  un tel lan­gage est pre­mier dans la recon­struc­tion qu’il invente au fil du désor­dre d’un « pas­sage » qui retrou­ve son unité.
 
Jacque­line Merville, Pas­sage en Rhé­nanie, des femmes, Edi­tions Antoinette Fouque, Paris, 2024, 64 p., 12 €.
 
Tout ce qui est écrit par Jacquelin Merville est néces­saire pour éla­bor­er de la poésie là où le lan­gage de tous les jours peut nous amen­er à des réfec­tions comme celles de la Bible : au com­mence­ment a été le mot…  L’obliger à se soumet­tre à de telles exi­gences c’est plutôt nag­er con­tre le courant, avancer en ce qui devient une  reven­di­ca­tion à l’existence qui certes est  le fruit hasardeux d’une d’injustice. Elle est inhérente au tra­vail textuel, qui demande une rage d’expression en développe­ments, de dépliements hor­i­zon­taux ou verticaux.
 
Ain­si, l’explication (si expli­ca­tion il y a ) est insé­para­ble de la créa­tion, le mou­ve­ment insé­para­ble aux lieux et leurs vari­antes suc­ces­sives pub­liées qui répon­dent bien à une inten­tion et à une con­cep­tion rel­e­vant d’un com­po­si­tion musi­cale par­ti­c­ulière, fixe et mobile, tra­di­tion­nel et mod­erne… Au long du temps et jusque dans ce voy­age l’auteur a sous mes yeux un long du temps, son  sacs à dos et son histoire.

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Bre­ton l’énergumène

Cette édi­tion cen­te­naire des Man­i­festes du Sur­réal­isme de Bre­ton est un recense­ment de tirage spé­cial par­fait.  C’est là se rap­procher de ce Kamtchat­ka théorique écrit à la fois au téle­scope comme au micro­scope. Cette édi­tion doc­u­mente ces textes de com­bat de 1924 à 1962 (pour leur édi­tion défini­tive). Mais La Pléi­ade ajoute quelques ouver­tures intéres­santes sur cde tels bru­lots par­fois encore salués, par­fois oubliés ou cri­tiqués. Se pro­lon­gent la mobil­ité de la pen­sée de Bre­ton et la per­pétuelle diver­sité de ses convictions.

Son pre­mier man­i­feste du Sur­réal­isme.  Fut pub­lié le 15 octo­bre 1924 au Sagit­taire chez Simon Kra à Paris. Et Bre­ton fonde son école (dont il allait devenir « Pape »),  et pré­cise « un cer­tain automa­tisme psy­chique qui cor­re­spond assez bien à l’état de rêve, état qu’il est aujourd’hui fort dif­fi­cile de lim­iter ».  Mais cette judi­cieuse édi­tion crée des effet de pans et de reflets, d’un texte à l’autre dans la pen­sée de Bre­ton en par­ti­c­uli­er chez les ver­sions d’après-guerre.
Certes il serait il est vain de chercher grief au créa­teur. Mais à cha­cun de se bat­tre avec ces textes et non sur des atti­tudes sup­posées.. Ce qui n’empêcha pas au sur­réal­iste belge Paul Nougé exclu sine die du groupe ger­manopratin d’estimer  dans les Man­i­festes des pré­cip­ités « théori­quards  his­toire de ne pas rire ». Et de rap­pel­er que la bour­geoisie intel­lectuelle et par­fois uni­ver­si­taire trou­va une forme de lib­erté entretenue  au gratin marxiste.
Néan­moins cette nou­velle édi­tion net­toie tes nos lunettes en zieu­tant sur le lit défait des Man­i­festes leur char­nu et par­fois des éboulis ou des ais­selles nég­ligées. Il n’empêche que l’ensemble reste des suc­ces­sions  d’étoiles nues tou­jours près sur la bureau d’un écrivain  là où s’allume cette nou­velle édi­tion en plafonnier.
 
Les man­i­festes, vu leur âge, sont  d’une cer­taine manière vieux dans le secteur de l’art et de la poésie. Mais ils sont loin de com­mencer à fatiguer. Les créa­teurs et lecteurs font leurs griffes dessus. Preuve que les vivants le restent sans s’asseoir sur de tels textes. Ce qu’a émis Bre­ton reste con­stant pro­grès et  sans préju­dice dans cette accu­mu­la­tion de théories  en un tel livre ouvert sur un cer­tain cristal. Il ne suf­fit pas d’y met­tre un pied dehors et ne jamais oubli­er de garder les clés de Bre­ton. Elles ont ouvert un monde.

André Bre­ton, « Man­i­festes du sur­réal­isme »,  Tirage spé­cial, Pré­face de Philippe For­est, Col­lec­tion Bib­lio­thèque de la Pléi­ade, Gal­li­mard,  19-09-2024, 1184 p., 64 €.

Un tel évène­ment le “re-présente”. Avec en con­séquence, des « usines » de la créa­tion  en face des antennes qui vibrent dedans et dehors pour penser le non-sens de cer­taines raisons. Bre­ton a donc con­stru­it un mon­u­ment. C’est encore quelque chose de la joie qui débar­que on ne sait pas par­fois pourquoi. Mais il importe que tout l’espace artis­tique et lit­téraire cueille un brin de son éter­nité par  halos de lumière et fait trem­bler la table non seule­ment ce l’éros mais de la création-énergumène.

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Affu­tages et trem­ble­ments de Gilbert Bourson

Gilbert Bour­son explore des lieux et des livres pour en extraire, par son écri­t­ure, d’étranges par­fums de fleurs mon­tées vers l’espace à par­tir de son « planch­er du ciel ». Exis­tent une suite de textes abîmes  « pour venir à bout du ciel tombé en plein vol d’un cheveu avec voracité ».

L’auteur a la chance de con­naître “des jours à idées”.  Ceux-là lais­sent jail­lir ses pen­sées des moin­dres occa­sions, « c’est-à-dire de Rien ». C’est-à-dire aus­si tou­jours d’un encore et voire de tout.
 
Au besoin l’auteur taille dans le jour, referme une fenêtre-séca­teur mais ouvre de nom­breux matins , d’autres matins.  Ses textes sont de petits chantiers. Ypointent par­fois des « draps météorites bégayées d’orteils ». Il existe là des ora­cles où le moi de l’auteur grouille à foi­son pour décou­vrir des fleurs , du pain, des auteurs, des musi­ciens de Jar­ry à Bre­ton, de Rav­el à Dusapin   à tra­vers de visions sonores ( pris­es par­fois  au mot Rim­baud) ou visuelles.
 
Tout ce qui est dit est autre chose que ce que nous sommes. Et nous suiv­ons le fil avec de mul­ti­ples ten­tac­ules et ten­ta­tions où « se veut une fleur aux semelles de vent ». Rien ici ne grince chez ce por­teur d’une prose assurée par sa chair et ses os sur plusieurs chemins taupiers. Les textes lézardent, ser­pen­tent et muent à vue dans la boue et les mau­vais­es herbes qui se trans­forme en or et argent mais aus­si en frissons.
 
Bour­son ne récrit jamais le dou­ble de ce qui a déjà été écrit et ne tire jamais la laisse du chien de la mélan­col­ie (ou de Goya lui-même). Chez lui une odeur de neuf relie la terre au c

Gilbert Bour­son, Planch­er du Ciel, Edi­tions Douro,  Chau­mont, 2024, 120 p., 18 €.

Une telle affaire est enten­due en touch­es « sur les toits d’un goût de chose lue dans l’aboiement de l’air ». Toute­fois l’auteur ne joue ni l’ange ni la bête. Il lessive le con­nu pour extraire d’un tel essor­age  les « volup­té des volup­tés ». Le lecteur n’en demande pas plus.
 
Oubliant les mots d’hier, Bour­son retrou­ve une rela­tion entres les choses et leurs mots. En con­séquence « dans le trou duc du mot donc du monde », une telle prose dit au dire du monde un glis­san­do mais sans la moin­dre vaseline.
Tirée par les cheveux l’écriture ose l’explosif (neu­rones com­pris­es) façon satin frois­sé à la Hen­ri Michaux Chez ces deux auteurs raris­simes les tit­il­la­tions sont des phras­es expurgées de mon­dan­ités idiosyncrasiques.
 
Par­fois la tête _ pra­tique­ment cou coupée par Bour­son lui-même — frise la cat­a­stro­phe. Mais à fleur de peau toute lame capote si ce n’est celle de fond qui fouaille l’âme jusqu’à celle de l’ange exces­sif  comme du diable.
 
Dans le genre c’est bien mieux que bien. Le style a ôté son slip mais non pour devenir exhi­bi­tion­niste. De la pre­mière à la dernière ligne un tel livre pal­pite :  Et c’est ça écrire mieux qu’un écrivain lam­da. Ici à pleine voix et «  rougie de doigts au goût de chair vers le ten­don grim­pant comme n’importe » tout avance.
 
Il y a ici par­fois du Blake et du Dante mais aus­si du Vachey et du Jar­ry. Les mots de cham­bre sont exclus et le brasi­er de moines ont fait leur habit. L’au­teur devient le bavard même dans les champs qui se trans­for­ment en chants : ici hors de com­bines, tout est affû­tage et tremblement.

Présentation de l’auteur

Jacqueline Merville

Jacque­line Merville, née le à Ville­franche-sur-Saône1, est une roman­cière, dra­maturge, pein­tre et éditrice française.

Bib­li­ogra­phie

Livres

  • La Ville du nom, Éd. des femmes, Paris, 1986.
  • Dia­logues sur un chantier de démo­li­tion, Éd. des femmes, Paris, 1987.
  • La Mul­ti­pli­ca­tion, Éd. des femmes, Paris, 1988.
  • Parabole de l’In­quisi­teur, Cer­cle noir, 1991.
  • La Man­dala du pèlerin, La Main courante, 1997.
  • Sur d’autres ter­res, La Main courante, 1999.
  • La grande cham­bre de mon­sieur Prems, La Com­pag­nie du refus, 2002.
  • The Black Sun­day, Éd. des femmes, Paris, 2004.
  • La Chair ronde des philosophes, Jacques André édi­teur, 2006.
  • L’Ère du chien endor­mi, Édi­tions des femmes, Paris, 2006.
  • Petites fac­tures divines, La Main courante, 2006.
  • Juste une fin du monde, L’Escam­pette, 2008.
  • Voy­ager jusqu’à mourir, L’Escam­pette, 2009.
  • Pierre flot­tante des Indes, La Main courante, 2010.
  • Presque africaine, Éd. des femmes, Paris, 2010.
  • Tenir le coup, Éd. des femmes, Paris, 2011.
  • Jusqu’à ma petite, Éd. des femmes, Paris, 2014.
  • Ces pères-là, livre d’artiste illus­tré par l’autrice, des femmes-Antoinette Fouque, Paris, 2016 — men­tion spé­ciale du prix Vénus Khoury-Ghata.
  • Deux con­ti­nents d’amour, des femmes-Antoinette Fouque, Paris, 2017.
  • Lotus d’Air, La Rumeur Libre, 2017.
  • Avec ses yeux, Lan­sk­ine, Cor­­coué-sur-Logne, 2019.
  • Le voy­age d’Al­ice Sandair, des femmes-Antoinette Fouque, Paris, 2020.
  • Le Courage des rêveuses, des femmes-Antoinette Fouque, Paris, 2021.
  • La vie bonne et d’autres vies, des femmes-Antoinette Fouque, Paris, 2022.

Théâtre

  • Nous allons bien­tôt sor­tir, France Cul­ture, 1988.
  • Le Maître océanique, mise en scène par Arc Théâtre, Con­di­tion de soies, Lyon, 1994.
  • La Grande cham­bre de Mon­sieur Prems, Com­pag­nie du R.E.F.U.S., 2002.
  • Les Forêts de Ram, mise en voix et espace par l’Arc Théâtre, Lyon, 2003.
  • L’É­ter­nité, Com­pag­nie du R.E.F.U.S., 2003.

Poèmes choi­sis

Autres lec­tures

Présentation de l’auteur

Alain Breton

Alain Bre­ton (né le 24 févri­er 1956, à Paris)  a codirigé à Paris, de 1996 à 2006, avec Élo­dia Tur­ki, les édi­tions Librairie-Galerie Racine, dont il est aujourd’hui le directeur littéraire.

Cri­tique lit­téraire (il a col­laboré aux deux séries de la revue Poésie 1), Alain Bre­ton est mem­bre du comité de rédac­tion, depuis 1997, de la troisième série de la revue Les Hommes sans Épaules, dont il a dirigé la deux­ième série de 1989 à 1994. Il est égale­ment l’au­teur de recueils poétiques.

© Crédits pho­tos (sup­primer si inutile)

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Présentation de l’auteur

Gilbert Bourson

Gilbert Bour­son né en 1936, a été met­teur en scène et comé­di­en. Il a pub­lié plusieurs livres de poésie, des romans et des essais chez dif­férents édi­teurs, notam­ment aux édi­tions du Chas­seur abstrait, La Grisière (édi­tions Saint-Ger­­main-des-Prés), Com­pact, Z4, Jeb­ca (Boston, États-Unis) Tin­bad, Douro/La Bleu-Turquin. Il a par­ticipé à l’anthologie 49 poètes, ouvrage col­lec­tif dirigé par Yves di Man­no chez Flam­mar­i­on. Il a aus­si pub­lié dans plusieurs revues : Arpa, Cheval d’attaque, Cahiers du dou­ble, Les car­nets d’Eucharis, Poly­phonie, Sub­stance (États-Unis), Action poé­tique, Tra­vail théâ­tral, Les cahiers de Tin­bad. Une grande par­tie de ses œuvres est pub­liée au « Chas­seur abstrait » Il col­la­bore à la revue en ligne de cet édi­teur : La RAL’M. Il vit et tra­vaille en région parisienne.

Bib­li­ogra­phie 

Il a pub­lié plusieurs livres de poésie, des romans et des essais chez dif­férents édi­teurs, notam­ment aux édi­tions du Chas­seur abstrait, La Grisière (édi­tions Saint Ger­­main-des-Prés), Com­pact, Z4, Jeb­ca (Boston, États-Unis) Tin­bad, Douro, La Bleu-Turquin. Il a par­ticipé à l’an­tholo­gie 49 poètes, ouvrage col­lec­tif dirigé par Yves di Man­no chez Flam­mar­i­on. Il a aus­si pub­lié dans plusieurs revues : Arpa, Cheval d’at­taque, Cahiers du dou­ble, Les car­nets d’Eucharis, Poly­phonie, Sub­stance (États-Unis), Action poé­tique, Tra­vail théâ­tral, Les cahiers de Tin­bad. Une grande par­tie de ses oeu­vres est pub­liée au Chas­seur abstrait. 

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Jean-Paul Gavard-Perret

Jean-Paul Gavard-Per­ret est un poète, cri­tique et maître de con­férences en com­mu­ni­ca­tion à l´Université de Savoie. Doc­teur en lit­téra­ture, J.P. Gavard-Per­ret enseigne la com­mu­ni­ca­tion à l’Université de Savoie à Cham­béry. Il est mem­bre du Cen­tre de Recherche Imag­i­naire et Créa­tion. Il est spé­cial­iste de l’Image au XXe siè­cle et de l’œuvre de Samuel Beck­ett. Il col­la­bore à de nom­breuses revues dont Pas­sage d’encres, Les Temps Mod­ernes, Esprit, Ver­so Art et Let­tres, Champs visu­als et Com­mu­ni­ca­tion et Lan­gage. Il a pub­lié une quin­zaine de livres, de textes brefs ou d’essais. Pub­li­ca­tions Fic­tions et textes brefs Toile Peinte, Argo, Lau­sanne, 1976, (Sous le pseu­do­nyme d’An­nie Renaud). Dans ses gestes, l’At­tente, L’In­cer­tain, Paris, 1991. La Par­ti­tion, Garenne, Lyon, 1991. La Répéti­tion, La Demeure, Cour­taud, La Souter­raine, 1992. Ici en l’ob­scur, Ecbo­lade, Nœux, 1993. Comme un voy­age, Édi­tion Philippe Morice, 1° édi­tion 1993, 2e édi­tion revue, 1994. Le jour où j’ai tué Papa, Exquis-Cadavres, Vir­gin-Cal­man-Lévy. Paris, 1995. L’Œil du Cyc­lope, en col­lab­o­ra­tion avec le graveur Marc Pessin, La Main Courante, La Souter­raine, 1995. Le jardin des délices, Le flâneur des deux rives, Juvinas, 1996. Art, Légende, Réal­ité, Bar­ré-Dayez, Paris, 1996. Douce, tech­nique­ment. en col­lab­o­ra­tion avec le pein­tre Mar­cel War­men­hoven, Ecbo­lade, Nœux, 1996. Le froid, Édi­tions La Dérive, Verviers, 1996. Néces­saire sac­ri­fice aux étoiles, Édi­tions le Givre de l’É­clair, Troyes, 1998. Généalo­gie véni­ti­enne, Rafael de Sur­tis, Chèvres, 1998. L’Araignée de feu, Édi­tions du Non Ver­bal, Bor­deaux, 1998. Draw­ing by embers, La Main Courante, La Souter­raine, 1998. Trois faces du nom, L’Har­mat­tan, Paris, 1999. Venise, Édi­tions de L’Heure, Pry, Bel­gique, 1999. Le cycle des van­ités, Édi­tions Pier­ron, Sar­reguem­ines, 1999. Pas­sager de sa pluie, Édi­tions de l’Heure, Pry-lez-Wal­court (Bel­gique), 2000. Demain, hier, Édi­tions on @ faim, Saint Éti­enne de Rou­vray, 2001. Cielle, Édi­tions Cla­pas, Agues­sac, 2001. La mai­son de l’être, Édi­tions Cla­pas, Agues­sac, 2001. Soul-Eyes, Édi­tions à Demeure, Vals, 2001. La descente ; absence et crue, Édi­tions à Demeure, Vals, 2001. Une manière noire — frag­ments sur Jeanne, in «Cui­sine et cuisines», Édi­tions La Dérive, Verviers, 2001. Pre­mier Prix Georges Simenon 2001 K, Véronique Van Mol édi­teur; Orgeo (Bel­gique), 2001. Soir (de Paris), Ate­lier-Édi­tions Vin­cent Rougi­er, Port de Couze, 2002 Chants de déclin et de l’abandon, Édi­tions Pier­ron, Sar­reguem­ines, 2003. Neige suivi de l’immobile, coll. Ficelle, Ate­lier Vicent Rougi­er, Port de Couze Lalinde, 2005. L’im­age est une chi­enne, l’Ane qui Butine, Bel­gique, 2005. Fil rouge, édi­tions Regard; Petite revue d’Art, Le Grand Aberge­ment, 2005. Porc épique, édi­tions du Petit Véhicule, Nantes, 2006. A perte de vue : Man­hat­tan Trans­fert, coll. Pam­phlet, Édi­tions L’Âne qui butine, Mouscron (Bel­gique), 2007. Mon ex a épousé un Schtroumpf (sous pseu­do­nyme de Garr Gam­mel), Édi­tions Chloé des Lys, Bar­ry (Bel­gique) 2008. E muet, édi­tions du Tri­dent Neuf, pho­togra­phie de Marie Bau­thias, Toulouse, 2008 La jeune femme qui descend l’escalier, Édi­tions du Cygne, Paris, 2008. La mar­iée était en rouge, Édi­tions du Cygne, Paris, 2008. L’ap­pel de la forêt, avec des pein­tures de Jacques Bar­ry, Édi­tions Jean Ville­vieille, Saint Éti­enne, 2010. Je veux, La dic­tée-poésie sans faute, 60e “ficelle”, Ate­lier d’art Vicent Rougi­er, jan­vi­er 2011. Dis­sem­blance et fig­u­ra­tion, avec une inter­ven­tion plas­tique de Mari­ette, Édi­tions Le verbe et l’empreinte, Saint Lau­rent du Pont, 2011. Por­traits Sin­guliers avec et pour les pein­tures de Clau­dine Loquen, Édi­tions Leliv­redart, Paris 2011. Cyc­lope, Édi­tions de L’At­lan­tique, Saintes, 2011. Eugène Leroy ou les appari­tions, Alma­gra Édi­tions, Nantes, 2011. Labyrinthes, édi­tions Marie Delar­bre, Grig­nan, juil­let 2012. 25 courts textes dans le recueil de pho­togra­phie de Nath-Saku­ra Fatales, Édi­tions Vic­to­ria (ISBN 978–2‑9542917–0‑3) Autres recueils de textes brefs : Anoth­er – Hor­moz pho­togra­phies, Cor­ri­dor Ele­phant Edi­tions, Paris, 2016. “Le Faubourg” avec encres de Danielle Berthet, Voix Edi­tions, Richard Meier, 2019. Flu­id­i­fi­ca­tion des éc®oulements, Edi­tions Furtives, Besançon, 2019. Fornika­tord, Edi­tions Furtives, Besançon, 2019. La let­tre d’amour qui ne s’écrit pas, Edi­tions Furtives, Besançon, 2019. Le bal des mots dits, Edi­tions Furtives, Besançon, 2019. Le box­on de X, Z4 Edi­tions, 2019. Uni­vercités, Edi­tions Jacques Fla­ment,  2020. Patience dans la boîte noire — Jean- François Dalle-Rive, avec M‑P Deloche, Folazil, Greno­ble, 2020. Joguet, Joguette, Z4 Edi­tions, 2020. Phare d’eau, édi­tions Con­stel­la­tions, octo­bre 2022 Tou­s­sa pour ça & Fir­ma­man, édi­tions Con­stel­la­tions, décem­bre 2022 Pro Loques, édi­tions Con­stel­la­tions, févri­er 2023 Région humaine suivi de Zébu­lon Comète et sa maîtresse, édi­tions Con­stel­la­tions, mai 2023 Poésie Corps de Pierre, Le Pont de l’Épée, Paris, 1976. Elle, Écrite, Hautécri­t­ure, Nouail­lé, 1990. La main le Désert, Vague Verte., Wag­narue, 1991. Le délit d’Ab­solu, L’Ar­bre à Paroles, Amay-Brux­elles, 1991. L’ef­face­ment, L’Ar­bre à Paroles, Amay-Brux­elles, 1992. Suite intem­pes­tive, en col­lab­o­ra­tion avec René Quinon, Le Flâneur des deux rives, 1996. Ibériques, Interédi­tions, Paris, 1996. (Grand Prix de poésie du Val de Seine). Avalée, Avalanche, Le Chant de l’Aleph, Paris, 1997. Fer­me­ture en fon­du sur la lumière du soir, “Con­duite for­cée”, (Édi­tions à tirage lim­ité, Eric Coisel Édi­teur, Paris, 1998. Arach­néenne, Édi­tions de L’Agly, Saint Paul de Fenouil­let, 1998. Pêcheur d’Is­lande, (Grand Prix de poésie de la Ville de Dunkerque) Verbes suivi de Anglais­es, Édi­tions Cla­pas, Agues­sac, 1998. Bon­jour Mon­sieur le Fac­teur, sur des col­lages de Éric Coisel; Éric Coisel Édi­teur, Paris, 1999. Vis­ages, en col­lab­o­ra­tion avec la plas­ti­ci­enne Charlette Morel-Sauphar, Édi­tions Pas­sage d’Encres, Romainville, 1999. Noire sœur, écrit et illus­tré en hom­mage à S. Beck­ett, Vin­cent Cour­tois éd., 1999. Clé de l’abyme, Le scarabée d’or, en col­lab­o­ra­tion avec le plas­ti­ci­enne Charlette Morel-Sauphar, Pas­sage d’encres, Romainville, 2000 Inci­sions de lumière, en col­lab­o­ra­tion avec la plas­ti­ci­enne Charlette Morel-Sauphar, Pas­sage d’encres, Romainville, 2000. Prim­i­tives du futur, Édi­tions de La Porte, Laon, 2000. Final Cut & Sur­vivance, en col­lab­o­ra­tion avec la plas­ti­ci­enne Ch. Morel-Sauphar, Gech Mosa édi­tions d’art, Mâcon, 2001. L’Injonction, en col­lab­o­ra­tion avec Annie Frédéric, coll. Tête-à-tête, Édi­tions Alain Benoît, Rocheford du Gard, 2001. Les car­rés de Charlette, coll. Encres Blanch­es, Édi­tions Encres Vives, Colomiers, 2001. Rouge Sang, Charlette Morel-Sauphar ed., Bus­sières-Macon, 2002. Dons de Mélan­col­ie – A l’épreuve du temps, avec des pho­togra­phies de Geor­gette Glodek, Édi­tions Dumerchez, Creil, 2003. Déchirures, avec des pein­tures de Bernard Ques­ni­aux, Éric Coisel édi­teur, coll. “ Mémoires ”, Paris, 2004. Ether­nitée, avec des dessins de Mylène Besson, coll. “à la Main”, édi­tion l’Attentive, Paris, 2004. Ara­ba, Édi­tions du Con­tentieux, Toulouse, 2004. Don­ner ain­si l’espace, Édi­tions La Sétérée, Crest, 2005. Les blés d’or, Aquarelles de Nicole Pessin, coll. Le fil à retor­dre, Ate­lier Marc Pessin, Saint Lau­rent du Pont, 2006. Voy­ages immo­biles, avec des pein­tures de Chan­tal Brischoff et des pho­togra­phies de René Auger, RC Créa­tion, Tho­ris­sey. Les paroles de neige, Aquarelles de Nicole Pessin, coll. Le fil à retor­dre, Ate­lier Marc Pessin, Saint Lau­rent du Pont, 2007. Gisante, Eden et après, avec des illus­tra­tions de Mylène Besson, Édi­tions Chloé des Lys, Bar­ry (Bel­gique), 2007 Le voy­age, avec une inter­ven­tion orig­i­nale de Alain Quer­cia, Jean Pierre Huguet Édi­teur, Saint Julien Molin Molette, 2007. Ver­ti­cal Duo, avec Marie Bau­thias, Édi­tions du Tri­dent Neuf, Toulouse, 2008. Sil­lage de Lumière, avec des dessins de Nicole Pessin, Le Fil à retor­dre, Saint Lau­rent du Pont, 2009. Faire par­ler le jour, avec des dessins de Nicole Pessin, Le Fil à retor­dre, Saint Lau­rent du Pont, 2009. Odyssée, Ray­mond Chabert entrée en matière, avec des pein­tures de Ray­mond Chabert, pho­togra­phies de René Auger, RC Créa­tion, Tho­ris­sey, 2009. Sta­tions chris­tiques, avec des encres de Nicole Pessin, Le Fil à retor­dre, Saint Lau­rent du Pont, 2009. & — livret 19, avec les pho­tos d’E­Ole, EOle édi­tions, La Batie Mont­gas­con, 2009. Miss Fitts et autres His­toires Ceintes, avec des dessins de Jean-Marc Scan­reigh, Édi­tions Ate­lier Vin­cent Rougi­er, Soligny la Trappe, 2010. L’al­pha­bet des prim­i­tifs du retour, avec des aquarelles de Nicole Pessin, Le Fil à retor­dre, Saint Lau­rent du Pont, 2010. Les boîtes à A, coll Match­boox, Édi­tions Voix, Elne, 2010. Le Dic­tio­n­naire des Âmes, avec des aquarelles de Nicole Pessin, Le Fil à retor­dre, Saint Lau­rent du Pont, 2010. Musikâa, édi­tions Marie Delar­bre, Malis­sard, 2010. Les enfants de la mer, avec des Aquarelles de Nicole Pessin, Le Fil à retor­dre, Saint Lau­rent du Pont, 2011. Noël en alpha­bet, avec des Aquarelles de Nicole Pessin, Le Fil à retor­dre, Saint Lau­rent du Pont, 2012. Les Seins d’Abeille , Edi­tions Jean-Pierre Huguet, St Julien Molin Molette, 2014. “Autre huche” Coll. Apos­tille Danielle Berthet, Aix Les Bains 2016 “Chéri( e)s ou le sexe se met en dernier”, coll. Apos­tilles, Danielle Berthet, Aix Les Bains, 2017. Cham­béry en alpha­bet dessins de Nicole Pessin, Edi­tion Varia Poet­i­ca, Saint Lau­rent duPont,2017 “Clavecin des brumes” avec des pein­tures orig­i­nales de Andelu, Edi­tions du Geste, 2016. Tu me vois — Sylvie Afla­lo-Haber­berg”, Paris, Sylvie Afla­lo-Haber­berg, 2019. “Cui cuit” Coll. Apos­tilles Danielle Berthet, Aix Les Bains, 2018 “Lionne va”, avec encres Danielle Berthet Le Livre Pau­vre, Daniel Leuw­ers, 2019. “Anna-Base”, Edi­tions Furtives, Besançon, 2019. “Pâle haie des spores”, coll. Apos­tilles, Danielle Berthet, Aix Les Bains, 2019. “Le retour sans l’aller”, Edi­tions Furtives, Besançon, 2019. Essais et Cat­a­logues La Pop-music, Édi­tion Bib­lio­thèque de Tra­vail, Paris.1978. Jean-Luc Favre ( Rey­mond) : la scène prim­i­tive et l’ob­sti­na­tion com­pul­sive, S.G.E. Genève. 1995. Jean Jacques Rousseau et retour — Cat­a­logue du sculp­teur Mar­cel War­men­hoven, Den Haag, 1996. 91 appari­tions de Marie-Madeleine, (sur les Pho­togra­phies de Véronique Sablery), Cen­tre d’Art Con­tem­po­rain, Hôtel Saint-Simon, Angoulême, 1996. Bur­roughs, le fil(s) per­du, de l’au­to­bi­ogra­phie à la scrip­togra­phie, Édi­tions Der­rière la salle de bains, Rouen, 1996. René Quinon : l’écri­t­ure & le silence, Édi­tions le flâneur des deux rives, Juvinas, 1997 Post­face à La dis­pari­tion Felli­ni de Jacques Kober, Rafael de Sur­tis Édi­teur, La Touche, 1998. Eugène Leroy ou les appari­tions, Patin et Coufin, Mar­seille, 1998 La didac­tique du français dans l’en­seigne­ment supérieur : Brico­lage ou réno­va­tion?, coll. Séman­tiques, L’Har­mat­tan, Paris, 1998. Josef Cies­la : les portes du silence ou le chant des signes, coll. les Sept Collines, Jean Pierre Huguet Édi­teur, St. Julien Molin Molette, 1999. Hypothèse du tableau comme clan­des­tinité — propo­si­tions pour Gérard Gasiorows­ki, Édi­tions Patin et Couf­fin, Mar­seille, 1999. Jacques Simonomis, en col­lab­o­ra­tion avec Jean Rous­selot, Édi­tions de La Lucarne Ovale, Paris, 1999. Eve­lyn Ger­baud, Édi­tions Pas­sage d’Encres, Romainville, 1999. Vis­ages — l’œuvre de Charlette Morel Sauphar, Édi­tions Pas­sage d’Encres, Romainville, 1999. Fil­igranes-Pas­sages, Cat­a­logue de la plas­ti­ci­enne Charlette Morel Sauphar, Macon, 2000. Les oubliés mag­nifiques, Édi­tions Librairie Bleue, Troyes, 2000. Samuel Beck­ett : l’Imaginaire para­dox­al ou la créa­tion absolue, Paris, Minard, 2001. Néces­saire défaut de la réal­ité ou la let­tre d’amour qui ne s’écrit pas, in «De tous les jours, pho­togra­phies de J‑Claude Bélé­gou», Édi­tions Pho­togra­phies & Co, Sausseuze­mare, 2001. Suites, séries, vari­a­tions. Cat­a­logue du pein­tre Joel Leick, in «Suites et Séries», Édi­tions L’Harmattan et Tour Car­rée, Paris, 2001. Beck­ett et la poésie : la dis­pari­tion des images, Édi­tions le Man­u­scrit, 2001. Draw­ing by Embers ou la poé­tique du silence & Du Par­adis in «Du Vide au Silence : La Poésie», Édi­tions Ver­mil­lon, Ottawa (Cana­da), 2002. Théo Cras­sas : Songs for Dis­tin­gué Lovers, Édi­tions Encres Vives, Colomi­er, 2002. Cat­a­logue de Véronique Sablery pour l’in­stal­la­tion “L’Ap­pari­tion”, Salle Royale, Église de la Madeleine, Paris (Avril, mai juin 2003). Thier­ry Tilli­er : Lieux et dérives du corps, Édi­tions de l’Heure, Charleroi, 2003. Un monde tou­jours nou­veau, CD-Rom des œuvres de Charlette Morel-Sauphar, réal­isé par Ch. Bau­dri­on, CRDP de Bour­gogne & CDDP de Saône et Loire, 2003, Dijon. Cat­a­logue de l’exposition Jean Gau­daire-Thor, Brid­gette May­er gallery, 209 Wal­nut street, Philadel­phie, USA. (sous pseu­do­nyme). Hom­mage à Blan­chot, col­lec­tion Signes, Édi­tions Aleph, Malis­sart, 2003. Mar­cel Rist, l’étreinte ou l’épreuve des traces, Édi­tions Anonyme, Auvers Saint Georges, 2004. Le chant des mots et la forêt des signes Pré­face de «Livres à l’envi — livres d’artistes et affich­es de J‑M Scan­reigh» de Jean Paul Laroche, Édi­tions Mémoire Active, 2004, Lyon. Cat­a­logue Michel Butor et les pein­tres, Musée Fau­re, Aix Les Bains, févri­er-mars 2005. François Bidault : le sur­face impos­si­ble ou le tableau qui pense in «Jeux de sur­face», coll. Écri­t­ure et Représen­ta­tion, LLS, Édi­tions Uni­ver­sité de Savoie, 2006. Marie Morel, Édi­tions anonyme, Cham­béry, 2006. Ankh : sculp­tures et gravures, Chapelle de la Vis­i­ta­tion, Thonon les Bains, 8 sep­tem­bre — 21 octo­bre. Franchir la fron­tière ou la poésie comme manuel de félix­ité et Théâtre de la poésie, poésie de la langue, in «Con­stan­tin Frosin, fran­cophile roumain» sous la direc­tion de Lau­rent Fels, coll. Essais/recherche, Édi­tions Poiêtês, Orthez, 2008. Cool Mem­o­ries”, cat­a­logue de l’Ex­po­si­tion de Véronique Sablery, «Ten­ta­tion du vis­i­ble», Abbaye Saint mar­tin de Mon­daye, juin-juil­let 2008. Une tra­ver­sée du siè­cle : arts, lit­téra­ture, philoso­phie : hom­mages à Jean Bur­gos, avec Bar­bara Meazzi et J‑Pol Madou, Presse de l’U­ni­ver­sité de Savoie, Cham­béry, 2008 Mar­tine Quès : Petits bassins d’eau salée, Pho­togra­phies, Ate­liers des Arts Mêlés, Gar­gas, 2008 Mar­tine Quès : Pho­togra­phi­er les rochers, Ate­liers des Arts Mêlés, Gar­gas, 2008 Il y a du frois­sé dans l’air, n° frois­sé, cat­a­logue pour l’ex­po­si­tion de Vin­cent Rougi­er à L’A­pos­tro­phe — Théâtre des Lou­vrais Pon­toise, Édi­tions Ate­lier Vivent Rougi­er, Soligny la Trappe, 2009. La céc­ité n’a pas gelé mon corps il l’é­tait avant, in «Au nom de la fragilité, des mots d’écrivains» sous la direc­tion de Charles Gar­dou, Édi­tions Erès, Paris. 2009. Jou­ve, la vision de la femme, in «Jou­ve poète européen», Cahiers P‑J Jou­ve, no 1, Édi­tions Cal­liopée, 2009. Loques et inter­loques : la vie dans les plis in «La sur­face : acci­dents et altéra­tions», coll. Écri­t­ure et Représen­ta­tion, LLS, Édi­tions Uni­ver­sité de Savoie, 2010. Mylène et Pierre in cat­a­logue «Pierre Leloup — Mylène Besson, Face à Face», Musée Fau­re, Aix les Bains. Pub­li­ca­tion de la société d’art et d’his­toire d’Aix les Bains, no 62, jan­vi­er 2011.. Voies de pas­sage et Petit dia­logue intem­pes­tif in cat­a­logue « Cour­to, frag­ments tatouant », Édi­tions Musées de la ville de Cham­béry, 2011. Miroir du déser­teur, lit­téra­ture, psy­ch­analyse, miroir de l’autre in «Polars En quête de… l’Autre», col­lec­tif sous la direc­tion de P‑L Savouret, coll. “Écri­t­ure et représen­ta­tion”, Édi­tions LLLS, Uni­ver­sité de Savoie, 2011. Eugène Leroy ou les Appari­tions, nou­velle ver­sion, 2011, Alma­gra Édi­tions, Nantes, 2011. Nicole Valentin et la chair-voy­ance, cat­a­logue de l’ex­po­si­tion “Autour du feu” de Nicole Valentin, espace Autour du feu, 24 rue Duran­tin, Paris 18e, juin 2011. Ouvrages “Si j’é­tais moi”, dans la revue d’art TROU no. XX, 2009 La Mar­iée était en rouge, Édi­tions du Cygne, Le Chant du cygne, 2009. La Jeune Femme qui descend l’escalier, Édi­tions du Cygne, Le Chant du cygne, 2008. À perte de vue : Man­hat­tan Trans­fert, L’Âne qui butine (Bel­gique), 2007. Les Impudiques : cratères lit­téraires, Édi­tions du Cygne, Le Chant du cygne, 2007. Le Voy­age, avec une inter­ven­tion orig­i­nale de Alain Quer­cia, Jean-Pierre Huguet édi­teur, 2007. L’Homme et l’e­space, Ate­lier Andelu, 2007. Porc épique, Édi­tions du Petit Véhicule, 2006. Les Blés d’or, aquarelles de Nicole Pessin, Marc Pessin, 2006. Don­ner ain­si l’e­space, La Sétérée, 2005. Thier­ry Tilli­er : lieux et dérives du corps, Édi­tions de l’Heure, 2003. Dons de Mélan­col­ie — à l’épreuve du temps, avec des pho­togra­phies de Geor­gette Glodek, Dumerchez, 2003. Chants de déclin et de l’a­ban­don, Édi­tions Pier­ron, 2003. Samuel Beck­ett : l’Imag­i­naire para­dox­al ou la créa­tion absolue, Minard, 2001. Le Silence de l’Ile, peint par Tony Souli­er, Éric Coisel, 2001. Beck­ett et la poésie : la dis­pari­tion des images, Édi­tions Le Man­u­scrit, 2001. Éve­lyn Ger­baud, Édi­tions Pas­sage d’En­cres, 1999. Trois Faces du nom, L’Har­mat­tan, 1999. Le Cycle des van­ités, Édi­tions Pier­ron, 1999. Josef Cies­la : les portes du silence ou le chant des signes, Jean-Pierre Huguet édi­teur, Les Sept Collines, 1999. Hypothèse du tableau comme clan­des­tinité — propo­si­tions pour Gérard Gasiorows­ki, Édi­tions Patin et Couf­fin, 1999. L’Araignée de feu, Édi­tions du Noroît (Cana­da), 1998. Généalo­gie véni­ti­enne, Rafael de Sur­tis, 1998. Eugène Leroy ou les appari­tions, Édi­tions Patin et Couf­fin, 1998. Draw­ing by embers, La Main courante, 1998. Arach­néenne, Édi­tions de L’Agly, 1998. Ibériques, Édit­in­ter, 1996. Bur­roughs : le fil(s) per­du, de l’au­to­bi­ogra­phie à la scrip­togra­phie, Édi­tions Der­rière la salle de bains, 1996. Le Jour où j’ai tué papa, Vir­gin-Cal­mann-Lévy, 1995. L’œil du cyc­lope (en col­lab­o­ra­tion avec Marc Pessin), La Main courante, 1995. Jean-Luc Favre : la scène prim­i­tive et l’ob­sti­na­tion com­pul­sive, SGE (Suisse), 1995. Ici en l’ob­scur, Ecbo­lade, 1993. L’Ef­face­ment, L’Ar­bre à paroles (Bel­gique), 1992. La Main, le désert, Vague verte, 1991. Elle, Écrite, Hautécri­t­ure, 1990. La Pop music, Édi­tions Bib­lio­thèque de Tra­vail, 1978. Corps de pierre, Le Pont de l’Épée, 1976.

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