Revue Florilège
Une revue certes d’allure tout à fait classique. Un format A4, une couverture qui présente un paratexte qui appartient au genre. Les rubriques sont elle aussi attendues, mais quelle richesse, dés l’ouverture, une foison d’articles, de rubriques, et, surtout, de poèmes ! 67 auteurs, dont les noms s’égrainent dans la rubrique « Les Créations ». Des noms connus ou moins, des poèmes qui se suivent mais qui sont mis ne pages de manière rythmée et attractive.
Florilège, revue trimestrielle, n °168,
septembre 2017.
A cette manne de textes et de références se mêlent d’autres rubriques, après l’éditorial. Des articles et des « Chroniques et notes de lecture ». Les pages de fin sont consacrées à la présentation des recueils fraîchement parus, à la vie associative, et offre le portrait d’artistes qui présentent succinctement leur activité.
Revue trimestrielle oblige, l’épaisseur informationnelle est au rendez-vous. Et étant donné la multiplicité d’informations et d’auteurs publiés, il serait aisé de basculer dans la catégorie des revues indigestes, désordonnées, brouillon…Ce n’est pas le cas ici. Tout est plaisant, attirant, mis en valeur, et surtout d’une densité inégalée. Un numéro à emporter pour les longs trajets, ou bien pour passer quelques heures dans cet univers de la pôésie, servie ici par une belle esthétique, et un vive intelligence quant au propos retenus.