Films en prose — Opus 8
En toute saison, je rapièce les fondus au noir. Pour y voir bouger l’énigmatique densité de la chose.
En toute saison, je rapièce les fondus au noir. Pour y voir bouger l’énigmatique densité de la chose.
Art du fragment, de l'éclat, ces textes qui donnent à voir du plus intime du regard...