Tanja Kragujević

Tanja Kragujević anja Kragujevic (1946), poétesse, Serbie.

Elle a obtenu une licence de littérature générale, à l’université de Belgrade, où elle a aussi obtenu un master. De la parution de son premier recueil de poésies, en 1966, jusqu’à aujourd’hui, elle a publié plus de vingt livres de poésie. Elle a remporté des signifiants prix littéraires dans son pays, entre autres le Prix Desanka Maksimovic pour l’ouvre poétique complète et la contribution à la poésie serbe (2015). Elle est autrice des certains livres d’essais sur les personnages importants de la scène poétique contemporaine serbe et mondiale.

Elle est incluse dans un grand nombre des collections et anthologies des poésies, ainsi que dans un nombre des anthologies mondiales : Les Poètes de la Méditerranée (Gallimard, 2010), Hundert grams seele (Dix décagrammes de l’âme, compilé par Robert Hodel, 2011), The Anthology of Serbian Poetry of XX and XXI Century (L’Anthologie de la poésie serbe du XXe et XXIe siècle, Herg Benet Publishers, Bucarest, 2012), El Color de la Esencia (La couleur de l’essence, compilé par Silvia Monrós Stojakovic, Rute, Espagne, 2013), et sa poésie se peut trouver dans la plus grande anthologie mondiale des poésies sur internet – Lyrikline.

Les traductions de ses vers ont été publiés dans les livres : L’herbe de verre, sept poèmes en sept langues (en français, allemand, grecque, hongrois, italien, japonais, espagnol – publié par Agora, Zrenjanin, 2012) et La mémoire de la soie (choix de poésies du recueil Le pain de roses – traduit en anglais par Marija Knezevic, en français par Marilyne Bertoncini et en espagnol par Silvia Monrós Stojakovic, Belgrade, 2015).

Au cours des années elle a participé à nombreuses rencontres littéraires et festivals de poésie, de Journées de la poésie de Pushkin et Soirées de la poésie à Struga, jusqu’à Premier festival transbalkanique de la poésie à Thessalonique, 2012, Quatrième festival international de la littérature, du film et du journalisme en Turquie (Ordu, 2013), entre autres.

Elle a été longtemps éditrice de la poésie chez deux maisons d’édition.

Aujourd’hui elle s’intéresse à lire les paysage de Danube – elle habite Zemun, à distance d’un pont de la capitale de la Serbie, Belgrade – et comme toujours, à lire les villes, les gens, les livres – à écrire et interpréter la poésie.