Pascale Monnin : la matière de la poésie
Comment faire un numéro sur les créolités sans l'ouvrir à une artiste dont tout [...]
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Deux livres de correspondance : Marie Alloy, Dominique Sampiero, Vers la terre(1995), L’Ombre emboîtée(1997), aux [...]
Avec Le temps est un faucon qui plonge, les éditions Pierre-Guillaume de Roux nous [...]
« Nous sommes tous mots : ils nous disent, nous habillent, nous font rater l’amour ou [...]
ENTRETIEN avec NOHAD SALAMEH autour de Marcheuses au bord du gouffre Vous venez de faire [...]
Jean-Jacques Tachdjian, sur votre site internet, jeanjacquestachdjian.com, vous vous définissez comme un « créateur de [...]
Le poème comme lieu d’un ressourcement de la langue, en un temps où le roman est devenu hégémonique et où la langue – le « sentiment », la conscience des langues – se perd. Il faut en revenir au poème comme à ce qui peut se proposer de plus irréductible dans la langue.
Autour du théâtre de Mathieu Hilfiger
« Rien n’est plus politique et révolutionnaire que la poésie si le poète accepte d’être prophète. Prophète au sens où il dit ce qui est en train de se passer et que personne ne veut ou ne peut voir » (Unamuno)
Autour des plis et pliures du livre sur Derrida, ERRADID