Si sans fin s’use alors.
La glace prise en pierre
ou pat­te brisée de substances
cal­caires. Si sans oubli se glisse en fente,
hiberne, retourne à
(point de départ),
si sans scrupule dilate les pores,
l’encre n’est qu’une meur­tris­sure de craie.

Fon­due, à terme brisée,
des ronds ravis­sent le tour 
pom­pon du retour.

N’effraie pas la chute.

Elle arrive, tournoie ses volutes en soupirs étranges.

Elle écrit.

 

Extrait de Va-tout

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